
Dans le Loiret, soit les gens sont sous Xanax, soit ils tuent des chats. Et parfois, on dirait que certains fantasment sur les gamins des voisins…
Les trois quarts de ceux qui vivent là ont fui l’Île-de-France parce qu’ils n’avaient pas les moyens d’y acheter un appart ou une maison. Du coup, ils ont claqué leurs économies dans une ruine déprimante pleine de gros travaux, qui ne prendra jamais de valeur, même terminée, vu que le bled le plus proche n’a ni boulangerie, ni café, ni collège à moins de 15 bornes.
Tous les jours, ils se tapent 120 bornes de bouchons pour aller bosser en région parisienne, coincés 3 heures par jour sur l’A6 ou la N20.
Ils ont des tonnes de travaux à faire, mais ils les finiront jamais.
L’usure, la solitude, la dépression suintent de chaque mur plus gris que ceux des pires cités HLM.
Et si ce n’est pas ça qui les achève, ce sera le prix du plein qu’ils font deux fois par semaine.
Sinon, ils finiront en gilets jaunes, à boire du Ricard dans des cabanes sur des ronds-points entre Buffalo Grill, Marie Blachère et Norauto.
Ils vivent à la campagne, ou plutôt dans un cauchemar : des murs gris, la Beauce à perte de vue, et des champs de betteraves arrosés de pesticides toute l’année.
Au pire l’eau du robinet, Moins recommandé que dans certains pays du tiers-monde finira par les butés
"L'individu était déjà connu de la justice pour des faits similaires et a été mis en examen." Toujours les même (je parle pas des noirabes mais bien de la tendance à la récidive).
Putain mais quand est ce que la justice va faire son putain de taff financer par nos impôts et juste empêcher ces connard d'agir en je sais pas les enferment au bagne + castration chimique ou si les droits de l'homme casse les couilles au moins la perpétuité sans protection des autres prisonniers
Ca sert a quoi en vrai de garder en vie ces gens là ?
Perso c'est vraiment le seul cas où j'estime que la peine de mort est envisageable.
C'est plus cher, mais définitif.
On ne peut plus les laisser sortir une fois qu'ils ont fait où tenté de le faire, c'est pas comme braquer une banque.. on ne peut pas se ranger, se racheter une conduite après ça, c'est juste impossible.
En tant que société, on ne peut pas l'accepter.
Rien que pour le côté dissuasif, moi je vote pour.
Si les pedocriminels se faisaient a minima castrer chimiquement, de façon systématique, ptet que ça les feraient réfléchir un peu plus aux conséquences de leurs actes..
Je pense pas que la dissuasion soit vraiment efficace.
C'est surtout pour notre paix à nous, pour être certain que jamais ils ne sortiront, car castration chimique ou pas, tu peux toujours faire des saloperies, c'est pas un frein chez ces psychopates.
Je suis d’accord avec toi, la peine de mort aux US en est la preuve, il y a une criminalité délirante dans les états où il y a la peine de mort
C'est peut être juste qu'ils n'appliquent pas assez la peine de mort. D'ailleurs, si il y avait plus d'armes en circulation, l'équilibre de la terreur baisserait la criminalité.
Tu dis n'importe quoi. Il y a des quantité incroyables d'armes en libre circulation aux états-unis et ça a jamais baissé la criminalité.
Avec tout ce qu'on lit ici, parfois on sait plus ce qui est du sarcasme ou du 1er degré... Je préfère avoir raté la blague.
S'il y a castration chimique, la libido s'en trouve un peu chamboulé non ?
Ya pas aussi un espoir du fait qu'ils ne seraient plus "attirés" par les gosses ?
C'est peu probant pour le moment au niveau des études menées. Déjà par le faible nombre/rigueur des études.
Ensuite car les résultats semblerait montrer une réduction de la fréquence de la pulsion, mais pas la disparition de la paraphilie. Le taux de récidive, quand il est mentionné, reste conséquent.
Qui plus est, les traitements, qu'ils soient des inhibiteurs de la testostérone ou des anti-psychotique ou encore des ISRS, présentent de nombreux effets secondaires empêchant une bonne observance du traitement.
Il faudrait coupler ttt et tcc mais encore une fois, il faut l'adhérence du patient, et ce n'est pas si courant.
Khan O, Ferriter M, Huband N, Powney MJ, Dennis JA, Duggan C. Pharmacological interventions for those who have sexually offended or are at risk of offending. Cochrane Database of Systematic Reviews 2015, Issue 2. Art. No.: CD007989. DOI: 10.1002/14651858.CD007989.pub2
