Après 3 ans de surcharge de travail, après 1 an à subir un collègue extrêmement toxic que la hiérarchie protège "parce qu'il est fragile, tu comprends", après un malaise vagal au boulot en janvier, suivi de 2 mois d'arrêt (salut le burn out)...
Demain, visite médicale de reprise : le médecin du travail prononcera mon inaptitude au poste.
Freedoooooooooooooooom ! Braveheart gif
Peut-être parce que démissionner peut être compliqué financièrement. Dans certains métiers elle peut aussi être refusée pour nécessité de service.
Je cherche un nouveau job depuis 1 an, mais pas évident, au niveau de salaire que je demande (qui plus est, je suis le seul salaire pour 4).
Mais j'ai passé 2 entretiens récemment, et j'attends les réponses d'ici 1 à 2 semaines.
Je pense que je retravaillerai très rapidement !
Je te le souhaite rapidement !
Arrivé à un certain âge si ce n'est pas un métier de niche comme l'expertise dans des domaines précis, c'est assez difficile de trouver car les concurrents sont plus jeunes moins chers mais pas expérimentés. Les entreprises regardent le plus souvent le prix... Pas la valeur.
Pour le métier, ça va, il y a du boulot dans mon secteur d'activité. Je fais du RH et de la paie, et je maîtrise plutôt bien les deux. Cette double maîtrise est assez rare, et assez recherchée.
L'abandon de poste ne donne plus le droit au chômage non plus. Mais je suis d'accord, si on est mal, il faut partir. Mais il arrive que les finances ne puissent pas suivre.
C'est bien là dessus que les responsables sont comptent. L'emprise financière.
J'ai eu la possibilité de gérer des équipes... Pendant quelques années jusqu'à ce que je comprenne que mes boss me demandaient de les 'enculer'. Alors c'étaient de bons gars bosseurs et cool. J'avais réussi à les fédérer et à créer un esprit d'équipe.
Le service était déficitaire financièrement quand je l'ai récupéré, on était prestataires. Au bout de deux ans on a commencé à faire de la putain de marge à deux chiffres. Mon boss super content me dit que l'on va avoir une super prime d'objectif...
Et quand je demande des augmentations pour mes gars, on me répond 'non c'est pas prévu'.
Après plusieurs engueulades avec mon boss, j'ai pu décrocher des super formations (7000 / 10000€) aux plus méritants.
J'étais écœuré. Au bout de quelques temps Le client chez qu'ils l'on était s'est réorganisé notre service à disparu. Je n'ai jamais voulu refaire du management.
En France c'est normal de maltraiter ceux qui bossent, c'est un exemple parmi tant d'autres que j'ai vécu.