Bonsoir très cher amis choualiens !
Etant un grand passionné de littérature épique, je m’en vais vous conter mon épopée de cette belle soirée de septembre, no fake tkt.
Pris d’une soudaine fringale, je me suis surpris à me diriger (nonchalamment de plus, ahah !) vers un authentique restaurant arabe (un kebab, pour les connards qui n’auraient pas compris).
Etonnant, étant un fervent défenseur de notre bonne cuisine française !
Quand soudain, un mécréant m’interrompit verbalement dans ma course ! Je ne compris pas tout de suite et le fis répéter :
- Plaît-il ?
- Jé di, va t’fair enculé !
Bien que très laid, je sentais que ce gueux avait besoin d’une oreille à son écoute.
Je m’en suis donc allé le rejoindre de l’autre côté de la route. (Ça rime t’as vu)
Il était accompagné d’une catin, probablement sa meuf, qu’il exposait dans une tenue de grosse chienne qui bouffe dla bite au ptit dèj et sans céréales (mais avec du lait si tu vois s’que je veux dire). D’une voix douce elle me susurra :
- Ta 1 blem trou dbal ?!
- Oh, rien de bien grave gente dame, il se trouve que j’avais une petite faim et que…
Le pleutre m’interrompit :
- Hé on sen ba lé ille-cou 2 ta vie mdr, va niké ton pèr !
La poufe pouffa, suivie de son disgracieux compagnon, je crus un instant qu’il se transformait… mais en fait non, il était juste encore plus laid. J’enchainai donc :
- A moins d’avoir une pelle ainsi qu’un gout prononcé pour la viande morte je ne pense pas pouvoir accéder à votre requête.
Après un lag de deux bonne minutes, je sentis l’air moqueur de ces deux serfs s’estomper. Le manant sembla prendre un air désolé et me bafouilla :
- Jsui dslé gro…
- Gros… gros ? GROS ?! QUI EST GROS ? Tu t’es vu tête de gland, porte plainte contre tes parents, l’autre pute prioritairement, ce silo à foutre que tu appelles communément, MAMAN !
Je m’en suis allé lui coller une branlée. Coup d’boule dans les dents, je chope son bras droit qu’il avait commencé à lever pour se défendre, je le tourne et le force à se mettre dos à moi, là je saisis son bras gauche puis, à l’aide de mon pied, je le force à se mettre à genou en tapant dans l’articulation. Je mets mon pieds au milieu de son dos, enfin je tire sur ses deux bras qui, d’abord se déboitent « clok », il crie, mais je tire encore… puis un déchirement, puis deux… Le tronc tombe inerte, il s’est évanoui le con.
Après quelques calembours à peine douteux réalisés avec les bras du bouseux, à sa gueuse je tendis la main… ahah, non je lui tendis vraiment MA main, avec un regard salvateur. Elle la saisit et sereinement je l’emmenai dans une ruelle pour lui péter le trou de balle. La laissant allongée là, ses trous béants prenant le vent moi criant : BUFFET A VOLONTE !
Je finis ainsi ma soirée le ventre aussi vide que mes couilles.
Bisous.
Je ne suis pas responsable de ridicules toute petites exagérations à certains passage*
J'ai rien bité ; t'es allé à un kebab et tu t'es confronté à la population locale en gros ? Classique quoi
"Elle la saisit et sereinement je l’emmenai dans une ruelle pour lui péter le trou de balle. La laissant allongée là, ses trous béants prenant le vent moi criant : BUFFET A VOLONTE !"
Pos'-pos'-pos'-pos'
"Je mets mon pieds au milieu de son dos, enfin je tire sur ses deux bras qui, d’abord se déboitent « clok », il crie, mais je tire encore… puis un déchirement, puis deux… ", ok Sasuka. Orochimaru a vraiment une mauvaise influence sur toi !
j'aime bien les histoires racontées dans un style littéraire particulier, fait le jusqu'au bout par contre, ça fait un sale contraste de voir du "meuf" ou du "pouf" au milieu d'une phrase à la teinte moyenâgeuse.
La suite c'est ta maman qui te tapote sur la joue en te disant qu'il faut te lever car t'es déjà en retard pour aller à l'école !
On me l'avait déjà raconté :)