il a été relâché en 2014 suite a des doutes sur sa culpabilité.
En 2018 il annulent la décision sans le remettre en prison.
Sachant qu'au Japon, un condamné à mort ne connaît pas sa date d'exécution....
Donc, tous les matins, il ne savait pas s'il allait finir sa journée vivant.
Une grande victoire des droits de l'homme de laisser traîner qqun 46 ans dans une cellule de 5m² au lieu de rendre justice rapidement.