Le truc qui me passionne et m'interpelle, pour rebondir sur ce qu'il raconte, c'est la dualité du temps; le fait que ça soit autant quelque chose d'abstrait que d'absolu; qu'on puisse en avoir une notion variable, presque fictive, et que POURTANT (bordel de merde) elle influe sur d'autres mécaniques, voire même justement, que d'autres mécaniques influent sur lui!
C'est fou que le cerveau humain soit impossible de se représenter de tel concepts.
Les supercalculateurs auront notre peau grrr...