"C'est un échec de nos démocraties" : Albert Dupontel fustige l'obsession du profit en Occident. Il dénonce l'impasse idéologique de l'Occident, où "gagner des sous" est devenu l'unique horizon.
Je suis d'accord le but c'est de gagner des sous , mais pourquoi , ben pour se taper des meufs , plein , car les meufs elles aiment bien les sous .
Vous pouvez me retrouver au PMU du coin tous les jours de 10h à 23 h .
il ne melange pas democratie et capitalisme la ?
et puis les chinois ou les russe qui sont pas en democratie veulent faire plein de thunas aussi
ce n'est pas lié a la democratie
Qu'il ferme sa gueule, les sous sont un moyen , pas une fin en soit. Il généralise à coup "d'occident / nos democratie / un footballeur "
Il utilise un fait divers individuel influencé par de multiples facteurs pour justifier une idéologie qu'il attribue à plusieurs centaines millions de personne.
Qu'il aille se faire enculer , lui qui ́'a pas besoin d'argent et qui vient faire la morale aux gueux.
Tu prends ça drôlement à cœur pour quelqu’un qui prétend que «les sous ne sont qu’un moyen».
Il ne dit pas que toi personnellement ne pense qu’au fric. Il parle d’un système culturel qui façonne les priorités dès l’enfance.... un monde où on apprend plus vite à admirer les influenceurs et les footballeurs qu’à se projeter dans un métier utile mais modeste.
Quant à ton "Qu’il aille se faire enculer", c’est éloquent... tu réagis comme un type qui sent qu’il a vendu une part de lui même à cette logique du fric sacré ...et qu’il n’aime pas trop que l’on lui rappelle.
Dupontel a fait son chemin en critiquant le système, preuve qu’il l’a suffisamment connu de l’intérieur pour mesurer ce que ça coûte de rester intègre.
Flemme de t'expliquer pourquoi ce mec est hors sol. Tu as raison , lui aussi. Nos société occidentale ne vivent que pour l'argent qui est une fin en soit pour la majorité des gens.
Évites de spéculer sur moi, il suffit de demander si tu veux savoir. Je suis salarié et j'ai basculé sur un contrat à 60% histoire de vivre plainement.
La bise
