Batman, le chevalier de l’ordre juste
Qu'on ne s'y méprenne pas : j'aime beaucoup Batman, en particulier le Batman II de Nolan ( <3 ), mais il y a des choses à dire sur ce personnage. Cet article apporte pas mal de réflexion et bouscule un peu tout le bien qu'on pourrait penser de Batman.
batman est un oppresseur bourgeois qui choisi l'ordre a imposer au nom de son propre code moral. Il fait rentrer les gens dans le rang.
Il est le bras armé de la bureaucratie. Batman sera pendu a la lanterne comme les aristocrates avant lui.
"Le jeune Bruce Wayne perd ses parents, assassiné-e-s"
Pousser l'obsession de l'écriture inclusive jusqu'à en écrire des fautes ridicules.
@lapinbilly: Parent c'est masculin et il n'y pas a pas de déclinaison féminine pour ce cas, il n'y a pas lieu d'utiliser l'inclusif. Un parent au sens fils/fille - père/mère s'écrit au masculin. Parente n'a pas le même sens.
Ça ne m'émeut pas, mais le fait de voir des choses comme ça et qu'on me dise que c'est normal de faire des fautes avec ce machin me conforte dans l'idée que c'est vraiment de la merde.
@Tokooran: mauvaise foi chronique ; résumés caricaturaux, qui, s'ils permettent de mieux souligner les éléments auxquels on souhaite s'intéresser, induisent quand même et en définitive une vision inévitablement biaisée de l'oeuvre, surtout quand le lecteur n'a jamais vu le film ; interprétations discutables de citations volontairement partielles et/ou tordues pour le bien de l'argument ; surpolitisation de tout - ce qui n'est pas nécessairement critiquable, lorsque l'aspect politique n'est pas le seul et unique point de vue utilisé pour aborder une oeuvre avant tout culturelle* ; négation absolue du genre dans lequel s'inscrit le film (les comics pour le personnage, le film de super-héros pour l'oeuvre de nolan), ainsi que de l'histoire de ce genre - qui pourrait prétendre analyser objectivement une oeuvre culturelle, et de plus *de fiction, en la dépouillant de tout contexte ? ; plus globalement négation de toute la culture, de toute la mythologie du héros dont n'importe quelle société a toujours eu besoin...
Tu as devant toi, à mon sens, une analyse surpolitisée manquant de tout oeil autre, incroyablement premier degré, qui tente un peu trop d'être politiquement correcte tout en étant ouvertement politiquement engagée, et qui incarne le gros défaut je crois des penseurs/activistes politiques extrêmes, trop profondément enfoncés dans leurs idées pour pouvoir jamais en ressortir : à savoir se chercher des ennemis là où il n'y en a pas, ou peu, et s'attaquer aux symptômes plutôt qu'à la "maladie".
Sans même discuter les idées, pour moi cet article pue...
@haughtyOwl: Le truc c'est que tout, absolument tout est politique (SURTOUT en art, et donc en cinéma), c'est au mieux de la naïveté et au pire de l'hypocrisie et du déni de prétendre le contraire.
Je pense pas qu'on puisse "sur-politiser" quoi que ce soit.
La culture et la politique sont entremêlées et il serait aussi absurde de prétendre le contraire. Quand on parle de la politique d'un pays on parle aussi de sa culture et inversement.
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