Comment Vincent Bolloré mobilise son empire médiatique pour peser sur la présidentielle

@Krelian: Bah là c'est en train de devenir comme aux US. Les milliardaires sont pas d'accord entre eux et le font savoir.

@Krelian: Le rôle d'un article comme celui-ci, c'est d'amener une dimension concrète avec de réels exemples. C'est autre chose que "ah bah on sait comment ça marche t'façon hein !". Donc oui, on a besoin de ce type d'articles. Après ce n'est sans doute pas innocent effectivement. Mais chacun prêche pour sa paroisse.

@Pouki: Poutine ou Xi Jinping, si tu veux que ton pays ait de grosses couilles à poser sur le front des autres nations

@Krelian: Seul Morsay peut tenir tête a Poutine

@Pouki: Z0ZZ

@Biprabit: 🐝0🐝🐝

@newfagvIHPAfDT2: dsl; je suis pauvre

@Walkshadow: i.imgur.com/EhNBxwT.jpg

Et ca c'est la fin : C’est devant Grimaud, autour du déjeuner servi sur des tables de récup’, dans le réfectoire, que Bolloré propose au journaliste d’intervenir tous les soirs sur CNews, à la rentrée suivante. Zemmour cite son cher Philippe Muray : seuls « les bien-pensants ne dérapent jamais. (…) Vous allez m’abandonner dès mon premier dérapage ! », résiste-t-il, rappelant au capitaine d’industrie qu’il a été « viré » de tous les médias (RTL, « On n’est pas couché » sur France 2) où il a travaillé, « sauf Le Figaro ».

Eclat de rire de Bolloré. Pense-t-il alors à ses parts d’audience et à ce « créneau réac » qui fait le succès de CNews ou croit-il sauver la France ? Joue-t-il sa dernière partie, celle où ses intérêts financiers croisent ses idées profondes ? Ce jour de 2019, le milliardaire rassure Eric Zemmour. « Je suis un Breton. » Puis, avec cette fausse modestie dont il adore jouer : « Je ne suis pas très intelligent, mais je suis très déterminé. »

@achtung: putain merci l'ami ! Puis-je te demander si tu es toi même abo, ou alors possesseur d'une quelconque technique de sorcier pour y accéder ?