J’ai fait un rêve, il y a peu.
Dans ce rêve, j’avais une envie de chier comme jamais.
Je m’efforce donc d’aller aux toilettes.
Mais là, à ma grande stupeur, les toilettes étaient... inversées.
Une surface plate se trouvait à environ 30 cm de mon cul. En gros, le trou, au lieu d’être juste en dessous comme d’habitude, celui ci était placé devant.
Donc, quand tu balances un étron de 30 cm, Il y a de fortes chances qu’il reste coincé entre toi et la cuvette.
Pas de bol, c’était des chiottes avec des rideaux, pas une porte.
Bref, je m’assois, j’aligne mes douces fesses, et je commence à essayer d’expulser cet enfant de mon corps en visant le trou (vieille habitude des toilettes à la française).
C’était long. Très long. Trop long.
Tellement long que ça s’est bloqué. Plus rien ne voulait sortir.
Et comment j’ai tenté de débloquer la situation ?
J’ai tiré la chasse.
SAUF QUE !
Au moment où je tire la chasse, un gars débarque… et ouvre le rideau.
Et là… le drame.
Une explosion de merde lui atterrit en pleine face.
Je me suis réveillé en hurlant de rire.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Sinon, je vous l’aurais pas racontée.
Trois jours plus tard, mon frère m’invite chez lui, en Allemagne.
J’y vais, tout content de le retrouver, et après neuf heures de route, je lui demande direct :
« Je peux utiliser tes toilettes ? »
J’ouvre la cuvette et là…
Le chiotte de mon rêve.
Exactement le même. Même design, même trou devant, même configuration perturbante.
Je m’y pose, je fais mon affaire. Cette fois, l’étron ne s’est pas bloqué, heureusement.
Mais c’est quand même vachement bizarre de chier avec son œuvre à portée de fesse.
Et encore, tu as oublié de parler de l'odeur de ton étron fraichement posé sur ce repose-caca en céramique qui éfleur ton trou d'blalle.
