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Ce n’est plus un secret. Le CO2 est l’un des principaux responsables de la pollution et du réchauffement climatique. 
 
Relâché en quantité dans l’air par nos usines depuis le début de l’ère industrielle, mais aussi nos voitures et la plupart de nos moyens de transport, le CO2 est partout dans notre atmosphère. Et c’est une très mauvaise nouvelle. 
 
D’après la branche suisse de WWF, on pourrait imputer les deux tiers du réchauffement climatique au dioxyde de carbone (CO2).
 
Ainsi, en Islande, pour contrer les effets néfastes de ce gaz, beaucoup trop présent désormais, Climeworks a mis au point Mammoth, le plus grand système DAC (Direct Air Capture) au monde. 
 
Les capacités extraordinaires de Mammoth
 
Pour faire disparaître ou, tout du moins, réduire l’impact du CO2 sur notre planète, Climeworks a décidé de l’aspirer. 
 
Un peu comme on aspirerait de la poussière pendant notre ménage hebdomadaire, Climeworks a décidé de faire du ménage atmosphérique pour se débarrasser du CO2. 
 
Le principe est assez simple, des “aspirateurs” capturent l’air ambiant et font transiter le CO2 sous terre pour l’enfouir et relâchent le dioxygène nécessaire pour que l’on puisse respirer. 
 
D’après les estimations des fondateurs de Climeworks, Mammoth serait en capacité de capter près de 36 000 tonnes de CO2 par an soit l’équivalent de ce que relâchent 7800 voitures thermiques. 
 
C’est un début.
 Reclaiming control of our climate future: Mammoth, the world’s largest direct air capture and storage plant, is now operational in Iceland.
 
 Join us in celebrating this monumental step towards combating climate change.https://t.co/Monql6GqqI@Carbfix #carbonremoval pic.twitter.com/9QAt9BrFBl
 
 — Climeworks (@Climeworks) May 8, 2024
 
Mammoth, le plus gros système DAC, mais pas le premier
 
Si la solution est innovante et nous promet de belles choses, Mammoth, n’est pas le premier système DAC à l’échelle mondiale qui a été mis en place. 
 
En effet, c’est en 2021, que le premier système du genre a vu le jour. Et c’est aussi Climeworks qui en était à l’origine. 
 
Baptisé Orca, il a la capacité d’extraire 4000 tonnes de CO2 par an. C’est beaucoup moins que son successeur, mais il fallait bien commencer quelque part. 
 
Comme Mammoth, il avait été érigé en Islande et est toujours en activité. Ainsi, Climeworks a, pour l’instant, la capacité d’extraire juste avec ses systèmes DAC, 40 000 tonnes de CO2 par an. 
 
Et bientôt, Mammoth et Orca seront largement dépassés par STRATOS, un système DAC qui devrait être opérationnel en 2025 et qui serait, lui, capable d’extraire jusqu’à 500 000 tonnes de CO2 par an. 
 
Il sera installé aux États-Unis, au Texas, l’un des États qui polluent le plus sur les terres de l’Oncle Sam. 
 
Pour Climeworks, Mammoth n’est pas une finalité, mais juste une étape. L’entreprise espère que d’ici 2030, elle pourra éliminer 1 million de tonnes de CO2 par an et atteindre la barre du milliard de tonnes d’ici 2050. 
 
Combien de tonnes de CO2 émet-on chaque année ? 
 
D’après l’International Energy Agency, les émissions de CO2, surtout liées à la combustion d’énergies fossiles, sont estimées à 37,4 milliards de tonnes sur l’année 2023. C’est 410 millions de plus que l’année 2022. 
 
Mais l’autre problème du CO2 n’est pas qu’il soit émis. En effet, il est produit depuis la nuit des temps rien qu’avec l’activité volcanique de notre planète. L’être humain n’a fait qu’accentuer le phénomène. 
 
Non, le problème du CO2, comme beaucoup d’autres sources de pollution, est qu’il met très longtemps à disparaître. 
 
En effet, dans un article de Jean Marc Jancovici daté du 1er août 2007, le dioxyde de carbone mettrait plus de cent ans à disparaître totalement de notre atmosphère de manière naturelle. 
 
Une information également reprise par la WWF Suisse qui précise “qu’après 100 ans, 15% à 40% des molécules émises se trouvent toujours dans l’atmosphère”. 
 
Ainsi, les systèmes DAC Mammoth, Orca, le futur STRATOS et bien d’autres dans le futur, seront donc primordiaux pour inverser la tendance du réchauffement climatique et de la pollution au dioxyde carbone. 
 
Source : CNN
 


Découvrez Mammoth, le “plus grand aspirateur” à CO2 du monde qui est enfin en marche


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Par Le Figaro avec AFP
Publié 
 il y a 8 heures, 
 Mis à jour il y a 7 heures
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol.
 JUNG YEON-JE / AFP
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Malgré les milliards d&#039;euros dépensés par le gouvernement pour encourager les naissances, le nombre de nouveau-nés en Corée du Sud a atteint en 2023 son plus bas niveau depuis les premières statistiques sur le sujet en 1970.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a déclaré jeudi 9 mai souhaiter un ministère pour lutter contre le faible taux de natalité du pays asiatique, le plus faible du monde, menacé par une crise démographique. «Je demande la coopération du Parlement pour revoir l&#039;organisation du gouvernement afin de créer un ministère de la Planification contre le faible taux de natalité», a déclaré Yoon dans une allocution. «Nous sommes quasiment dans une situation d’urgence nationale», a insisté le président.
 
 
 
Le nombre de nouveau-nés en Corée du Sud a atteint en 2023 son plus bas niveau depuis les premières statistiques sur le sujet en 1970, malgré les milliards d&#039;euros dépensés par le gouvernement pour encourager les naissances. Pour maintenir la population à son niveau actuel (51 millions d&#039;individus), il faudrait que les femmes donnent naissance à 2,1 enfants en moyenne durant leur vie. Mais en 2023, le taux de fécondité a continué de chuter, atteignant 0,72. A ce rythme, la population sud-coréenne va quasiment se réduire de moitié pour atteindre 26,8 millions d&#039;habitants en 2100, selon l&#039;Institut pour les mesures et l&#039;évaluation de santé à l&#039;université de Washington à Seattle (Etats-Unis).
 
La double journée des femmes, un facteur clé
 
 
Séoul a dépensé des milliards d&#039;euros pour tenter d&#039;encourager les naissances, à travers des versements d&#039;allocations, des services de garde d&#039;enfant et une aide pour les traitements de l&#039;infertilité. Selon les experts, le faible nombre de naissances découle notamment des prix de l&#039;immobilier et des coûts élevés liés au fait d&#039;élever des enfants, dans une société compétitive rendant par ailleurs difficile l&#039;obtention d&#039;emplois bien rémunérés. La double journée de travail des femmes, qui, une fois rentrées du travail, assument souvent la responsabilités des tâches ménagères et de l&#039;éducation des enfants, constitue aussi un facteur clé, expliquent-ils.
 
 
Le taux de fécondité du pays est le plus bas des pays membres de l&#039;Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), et l&#039;âge moyen auquel une femme met au monde son premier enfant est de 33,6 ans, le plus élevé dans l&#039;OCDE.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Le président sud-coréen veut instaurer un ministère pour relancer la natalité


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Team GB marathon swimmers will be vaccinated for typhoid and hepatitis A amid ongoing concern over water quality in Paris, according to reports.
With fewer than 100 days to go until the opening ceremony – also scheduled to take place along the Seine – confidence in the river’s cleanliness remains unsteady, particularly after a report published by European water and sustainability charity the Surfrider Foundation earlier this month found what it said were consistently concerning concentrations of E coli and Enterococci in the Seine.
Team GB swimmer Hector Pardoe told the i: “We’re going to have a typhoid and hepatitis A vaccine beforehand and be on antibiotics after the race, regardless of what the water samples show.
“I haven’t had to take precautions like this before, but the last thing (AquaticsGB) wants to do is to put any of us in jeopardy, so they are being really cautious in the run-up to Paris.”
Triathlon swimming legs at both the Olympics and Paralympics are also scheduled to take place in the Seine, from which the Surfrider Foundation has been taking bimonthly samples for the last six months.
Of the 14 samples taken, its report said “only one enabled our team to conclude that the quality of the water in the Seine at this particular point was even satisfactory… it is therefore clear that the athletes who will be taking part in the Olympic and Paralympic events planned for the Seine will be swimming in polluted water and taking significant risks to their health.”
E coli can cause a range of serious infections and other side effects.
Competitors swim in the Seine River during the Paris Triathlon competition in Paris Sunday, July 10, 2011 (AP2011)
High levels of the bacteria were found in the Thames ahead of last month’s Boat Race, after which one Oxford rower blamed “poo in the water” for several members of his losing crew falling ill.
Paris mayor Anne Hidalgo addressed concerns again earlier this week, and said she remains confident that the Seine will be in sufficient shape to hold Olympic and Paralympic events this summer.
She, alongside IOC president Thomas Bach and French president Emmanuel Macron, are among those who have promised to take the plunge and swim in the Seine at an event scheduled for early summer.
There remains a possibility that water testing during the Games could still force events to be postponed or, in a worst case, cancelled.
When asked about triathlon, Paris 2024 president Tony Estanguet, speaking at the Sport Accord in Birmingham and as reported by the Guardian, said: “When we decided to have this competition in the Seine we knew it will be a big challenge.
“We are still confident that the triathlon will be based in the Seine because we have contingency plans. We can postpone for rainy conditions. Because it’s programmed at the beginning of the Games we can wait for better conditions. So we are confident that it will be possible to use the Seine.
“We change the date and postpone from one day to three days until it’s OK. And there is a final decision where we could not swim – it’s part of the rules of the International Federation. It’s what we want to avoid, of course.”
Meanwhile, French police evicted migrants from a makeshift camp in Paris a few steps from the River Seine on Tuesday, in the latest operation in what aid groups call a campaign of “social cleansing” ahead of the Summer Olympics.
Around 30 teenage boys and young men from West Africa were woken before dawn by officers and urged to pack their tents and belongings. Most of them were underage and in the process of seeking residency papers.


Team GB athletes set to receive vaccines before swimming in Seine for Paris Olympics


« J’en ai pleuré. » Ludovic Franceschet a mis du temps à réaliser ce qui l’attendait à Paris l’été prochain. Dans les rues de la capitale, il sera l’un des porteurs de la flamme olympique pendant son parcours à travers la France jusqu’à la cérémonie d’ouverture le 26 juillet prochain.
« Je suis tellement heureux. Je suis quelqu’un qui est très engagé pour la propreté de la planète, c’est hyper important. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point quand on m’a appelé, j’en ai pleuré… Je n’y crois toujours pas », explique Ludovic Franceschet au micro de BFM Paris.
« Je ne porterai pas la flamme en tant qu’éboueur »
Son nom ne vous dit rien ? C’est normal. Pour certains, il est simplement « Ludovic », une star sur les réseaux sociaux et particulièrement sur TikTok où il met en avant son métier d’éboueur et le besoin de propreté. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’il a été invité en tant qu’ « engagé pour la planète » pour porter la flamme. « Je ne porterai pas la flamme en tant qu’agent de propreté ou en tant qu’éboueur, mais en tant qu’engagé pour la planète », a-t-il affirmé.
Dans le détail, il participera au relais le 15 juillet prochain dans les rues de la capitale, sans pour autant avoir plus de précisions jusque-là. Il a promis « une petite surprise » dans sa manière de relayer la flamme sans une nouvelle fois en dire plus.
VIDEO. Ludovic, éboueur star de TikTok, a nettoyé 35 ponts de Paris sur ses jours de repos
La flamme olympique des JO de Paris 2024 a été allumée ce mardi sur le site antique d’Olympie en Grèce, à près de 100 jours de la cérémonie d’ouverture le 26 juillet. Le 8 mai prochain, à 19 heures, elle arrivera sur le territoire français dans le Vieux-Port de Marseille.


JO Paris 2024 : Ludovic, éboueur et influenceur sur TikTok, portera la flamme olympique

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Trois ans après une fusillade qui a fait quatre morts et sept blessés dans un lycée américain, les parents d&#039;Ethan Crumbley ont été condamnés à des peines allant jusqu&#039;à 15 ans de prison.
Les parents d&#039;un adolescent américain condamné à perpétuité pour avoir tué en 2021 quatre élèves dans son lycée avec une arme qu&#039;ils lui avaient offerte ont été condamnés mardi à une peine de dix à 15 ans de prison, une première aux États-Unis.
La mère, Jennifer Crumbley, 46 ans, et le père, James Crumbley, 47 ans, ont été reconnus coupables d&#039;homicide involontaire lors de deux procès distincts, en février et en mars, des condamnations inédites dans le pays pour des parents.
Quatre morts et sept blessés
&quot;On n&#039;attend pas des parents qu&#039;ils soient des devins, mais ces verdicts ne sanctionnent pas de mauvais parents. Ces verdicts confirment les actions répétées, ou absences d&#039;actions, qui auraient pu arrêter une catastrophe imminente&quot;, a déclaré la juge du tribunal de Pontiac, dans le Michigan (nord), Cheryl Matthews,
Elle les a condamnés à la même peine de &quot;dix à 15 ans de prison&quot;, moins les deux ans et demi de détention préventive déjà effectués. Ils encouraient une peine maximale de 15 ans de prison.
La procureure lui avait demandé de prononcer les peines les plus sévères possibles contre les accusés, en &quot;prenant en compte l&#039;impact de leur négligence criante&quot;.
Avant l&#039;énoncé de la sentence, Jennifer Crumbley comme James Crumbley ont tenu à préciser, contrairement à l&#039;impression qu&#039;ils avaient pu donner lors de leurs procès respectifs, qu&#039;ils auraient agi différemment s&#039;ils avaient eu connaissance des signes avant-coureurs de la tragédie.
Leur fils, Ethan Crumbley, âgé de 15 ans au moment des faits, avait tué deux filles et deux garçons âgés de 14 à 17 ans et blessé six autres élèves et un enseignant le 30 novembre 2021.
Un pistolet, 50 balles
Lors de son procès, Jennifer Crumbley avait témoigné que son mari avait rapporté, quelques jours auparavant, un pistolet Sig Sauer calibre 9 mm comme cadeau de Noël anticipé. Elle avait raconté avoir emmené son fils à un stand de tir le lendemain.
Malgré une convocation des parents au lycée le jour du drame, les enseignants leur conseillant de faire suivre psychologiquement leur fils après avoir découvert un dessin &quot;alarmant&quot; réalisé par l&#039;adolescent, ils étaient repartis sans le ramener à la maison.
Ethan Crumbley a été jugé comme un adulte et condamné en décembre à perpétuité sans possibilité de libération anticipée par un tribunal du comté d&#039;Oakland.
Story 7 : Tueries de masse aux États-Unis, pourquoi rien ne change ? – 27/05
L&#039;adolescent avait plaidé coupable en octobre 2022 d&#039;avoir apporté à son lycée le pistolet avec 50 balles dans son sac à dos et d&#039;avoir tiré sur les lycéens.
En décembre, la mère d&#039;un élève de six ans qui avait grièvement blessé par balle sa professeure d&#039;école a été condamnée à deux ans de prison pour négligence parentale par la justice de l&#039;État de Virginie (est).
Le mois précédent, le père d&#039;un homme accusé d&#039;avoir ouvert le feu en 2022 lors des célébrations de la fête nationale américaine près de Chicago, faisant sept morts, avait plaidé coupable pour comportement irresponsable pour l&#039;avoir aidé à acheter l&#039;arme utilisée lors de la tuerie.


États-Unis: les parents d&#039;un lycéen auteur d&#039;une tuerie condamnés à au moins 10 ans de prison, une première


 
 
 
 
 
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Caroline Pursey, une Britannique de 63 ans, a récemment fait les gros titres de ITV News, la chaîne de télévision, après avoir été contrainte d&#039;arracher elle-même 12 de ses dents en raison de douleurs insupportables et de l&#039;incapacité d&#039;obtenir un rendez-vous chez un dentiste du service public de santé britannique. 
 
Son histoire, diffusée le 7 février 2024 sur la chaîne de télévision britannique, est le reflet des défis auxquels sont confrontés de nombreux citoyens britanniques en matière d&#039;accès aux soins dentaires. &quot;La douleur était devenue insupportable. Je ne pouvais plus attendre trois mois pour obtenir un rendez-vous chez un dentiste du NHS, et je n&#039;avais pas les moyens de payer un dentiste privé&quot;, témoigne Caroline Pursey. 
 
Malgré ses tentatives pour trouver un dentiste du NHS, elle a été confrontée à une liste d&#039;attente de trois ans, la laissant sans autre choix que de s&#039;auto-extracter ses dents pour soulager sa douleur.
 
Des réponses gouvernementales jugées insuffisantes
Interrogée sur la situation de Caroline Pursey, la ministre de la Santé, Victoria Atkins, a annoncé des mesures pour remédier à la crise dentaire, notamment des incitations financières pour les dentistes s&#039;installant dans des régions sous-dotées en services dentaires et le déploiement de fourgons dentaires dans les zones rurales. Cependant, Caroline Pursey estime que ces réponses sont insuffisantes pour résoudre les problèmes auxquels sont confrontés de nombreux citoyens britanniques en matière d&#039;accès aux soins dentaires.
 
&quot;Je ne peux plus sourire. Ça me ruine le visage. (...) Je ne suis plus moi-même. Je mérite un sourire, j&#039;ai travaillé dur toute ma vie&quot;, confie Caroline Pursey. Son témoignage souligne l&#039;ampleur de la crise dentaire dans le pays. Elle appelle d&#039;ailleurs à une prise en charge plus efficace et équitable de la santé dentaire au Royaume-Uni, afin que personne ne soit contraint de vivre une telle souffrance.
 
Un cas qui n&#039;est pas isolé en Angleterre
Le cas de Caroline Pursey n&#039;est pas isolé, et de nombreux autres citoyens britanniques se trouvent confrontés à des difficultés similaires en matière d&#039;accès aux soins dentaires. Parmi eux, on peut citer le cas d&#039;une famille de Wakefield, où un père, Haseebullah, témoigne de l&#039;impossibilité d&#039;inscrire ses filles, âgées de six et neuf ans, chez un dentiste du NHS malgré les caries importantes dont souffre sa plus jeune fille. Malgré des tentatives répétées pour trouver une disponibilité, la famille se heurte à des listes d&#039;attente excessives et à un accès limité aux soins dentaires.
 
De même, les histoires d&#039;autres citoyens britanniques diffusées sur ITV News, contraints à l&#039;auto-extraction dentaire en raison de douleurs insupportables souligne l&#039;étendue de la crise dentaire qui sévit au Royaume-Uni. Le 14 juillet 2023, Steve Brine, le président de la commission de la santé et des affaires sociales déplorait dans un article du journal The Independent &quot;Entendre parler d’une personne souffrant d’une telle douleur et d’une telle détresse qu’elle a dû utiliser des pinces pour extraire ses dents démontre la crise que traversent les services dentaires du NHS&quot;. 
 
D&#039;autres témoignages, disponibles sur la chaîne de télévision britannique, évoquent des personnes parcourant des kilomètres pour trouver un dentiste disponible, tandis que d&#039;autres font face à des délais d&#039;attente excessifs ou à des coûts prohibitifs pour accéder à des soins dentaires privés.
 
 
 
ITV News has spoken to a patient who was in so much pain she pulled out 12 of her own teeth with pliers because she couldn&#039;t get an NHS dentist.
&#039;Somebody in that amount of pain must always remember that if they need to they can go to their local A&amp;E,&#039; the health secretary says pic.twitter.com/I6OS8d1N3K
— ITV News Politics (@ITVNewsPolitics) February 7, 2024 
 
 
 
 
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