Il voulait me baiser,je l'ai baisé

#nohomo

Aujourd'hui, en rentrant du boulot dans ma petite voiture, je suis passé au Quick histoire de bouffer un bout.
En sortant du drive, un mec, assez bronzé, gros, avec un polo bleu m'accoste.
Il m'appelle au loin " Hey steuplé chef ". Étant pas un fils de pute, je l'attends et il se pose sur ma fenêtre ouverte.
Il commence à me parler de sa communauté de gitan - " les vrai, pas les roumain " disait il - , et que je devrais savoir ce que c'est les minorité communautaire vu que j'aurai selon lui des origine espagnoles vu que j'ai , je cite " la classe méditerranéenne ". J'étais étonné qu'une personne de ce type la pouvait connaitre un mot de plus de deux syllabes. Il me demande un peu d'aide parce que sa femme - ou sa fille, il avait mal préparé son histoire - est malade, qu'il a besoin d'un peu d'argent parce que sa voiture est en panne et qu'il doit aller à l’hôpital. Toujours penché dans ma voiture, j'osais pas accélérer de peu de blesser cette sous-merde qui, sans aucun doute, essayé de me la mettre bien profond dans le culcul. Il me disais que l'aider l'obligerai à me rendre la pareille. Comme si j'avais envie de revoir sa gueule de con un jour dans le futur.

En continuant à déblatérer ses mensonges et ses vaines promesses il n'avait pas remarquer que j'avais discrètement desserré le frein à main et glisser la première vitesse tout en restant appuyer sur la pédale de gauche - l'embrayage , pas notre président -. Ça aurait était con si j'avais calé.

Après 5 minutes de monologues où j'observais ses multiples mentons qui dansaient - que je voyais de si près que je croyais voir un mauvais porno - il me demande pour la 137em fois de lui donner un peu d'argent. Je lui apprends qu'il y a une borne de retrait juste à quelque mètres d'ici et que je pouvais lui chercher 20€. Il demande s'il peut rentrer dans ma voiture. Proposition que j'ai accepté. Il décole enfin ses gros et gras coude de ma portière, passe devant mon capot - ce que j'avais prévu, si il passait derrière, j'aurai eu plus de facilité à fuir - et une fois arrivait au niveau de ma portière coté passager... J'ai accéléré comme un enculé et sa silhouette rondouillarde s'est enfui de mon rétroviseur quand j'ai pris le premiers virage. Mon dernier souvenir de ce connard, c'est sa déception et la rage exprimées par le balancement de ses bras remplis de graisse. Comme si c'était la 4e fois qu'il se faisait baisé aussi facilement.

Voilà voili voulou

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