Ca parle de vaches mais pas seulement

Je n'en peux plus de la scierie. un océan sans fin de merde qui jongle avec tous un chacun, personne ne semble remarquer l'impossible. au final on a tous l'impression que ca avance pas, que ca stagne, pas moyen de se lancer, hou hou !
pas de distances infranchissables, une seule idée en tête, en faire chier un maximum aux gens. je déteste tout ca, autant ne pas en prendre plus que ma part, et les vache qui viennent se rajouter à tout ca, j'en peux plus.
En plus tout est étrange autour de moi, pas de sol ni d'air ni de rien, que le monde normal sans aucune différence notable avec un vase grec, un doryphore sans âme et sans ribambelle, comme un avion en papier qu'on lancerais dans un train qui recule. Une lueur d'espoir au final puisque c'est la fin et que tout ceci n'est que le désordre et pour finir un peu plus.
Enfin la voici.