Berceuse Astrale.

A la horde dehors qui te veut en son nom
Crierai-je haut et fort à en percer le son
De figer leur vie pour ta divine chanson ;
« L’espace d’un instant, nous nous abandonnons ! ».

Les douces notes de ton silence radieux,
Ces pépites d'argent qui crépitent aux cieux,
Enchantent et font taire les cruels vicieux
Braillant à l’un à l’autre leurs maux insidieux.

Mes vœux me somment de te serrer, mon Idole,
De te vouer en mes rêves cérémonie folle,
Que le nœud de nos songes précieux batifole
Au milieu de tes mélodies en farandole.

Je te succombe, succube de mes pensées,
Laisse ton écho noir peser mon oreiller,
Déesse de mes nuits qui te sont sacrifiées,
Tes messes me sont pansantes et encensées.

Je me sens égaré en ton charme envoûtant,
L’espace autour de moi se meut en titubant,
Guidé par ton chant de sirène m’enrobant,
Je m’en remets à toi, ô Reine de tous temps !


(Texte assez old. Et je sais, "pansantes" n'existe pas, on va mettre ça sous le compte d'une sorte de licence poétique)

Berceuse Astrale.
Cette page est réservée aux ADULTES

Tu es sur le point d'accéder à un site web qui contient du matériel explicite (pornographie).

Tu ne dois accéder à ce site que si tu as au moins 18 ans ou si tu as l'âge légal pour visionner ce type de matériel dans ta juridiction locale, l’âge le plus élevé étant retenu. En outre, tu déclares et garantis que tu ne permettras aucun mineur à d'accéder à ce site ou à ces services.


En accédant à ce site, tu acceptes nos conditions d'utilisation.