Marche et divagation

Bon, j'écris plus du tout. Partiels, rattrapages : je m'abstien. Mais c'est exactement comme la branlette, au bout d'un moment que ça soit trop tout seul, on craque. Donc voilà, même si ça prétends à rien, c'est le seul ensemble que je me suis autorisé à finir (et ce, le temps d'un trajet de tram)



Nous étions un dimanche au soir
Un peu en avance
Sur le calendrier

Nous étions un jour de malchance
Et de noir, comme déborde
Le cendrier

Nous percions un mystère révolu
Une énigme pour la paraisse
Une fracture dans la fiction

Et malgré son caractère insoluble
Et son par terre insalubre
Nous la cheminons

Certes en se charcutant la chevelure
Parfois l’envers du menton
Sans en éclaircir le ton

C'était notre marathon
Nous étions entraînés aux baratins
Aux bars aussi, jusqu’au matin

Où nos maux rêvaient en altitudes
De tomber à nouveau en désuétude
Sur nos sols de solitudes

Nous soulevions sans cesse hier
À l’examen de ses poussières
De ses tours de manches

Marchant vers un même lendemain
Renouvelé, identique
Nous posions

Dans nos regards
Au gré du hasard
Cette question

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