LE COURS RELOU : Vous abordez des sujets profonds, avec sens... Les choses sensées de l'homme et de bon sens résultent de notre évolution, la peur, parmi tant d'autres émotions primaires, résistent aujourd'hui car elle est en effet un arsenal nécessaire au bon fonctionnement d'un contrôle sur l'environnement général, qu'il s'est lui-même influé et infligé. La peur est un des sujets les plus fondamentaux sur la capacité de l'homme à pouvoir évoluer, transgresser et dans l'extrême l'annihiler. Pus précisément, ou physiologiquement parlant : il existe deux circuits menant vers la peur. Circuit court : thalamus (porte), amygdales (infos et analyse, réaction comportementales), cortex (direction) et Le circuit long (plus intéressant), thalamus, hippocampe, cortex, amygdales : circuit plus lent, mais plus précis permettant un temps plus lent de réaction. Le thalamus (la porte) renvoi l'information vers l'hippocampe ( mémoire sensorielle ) puis renseigne le cortex préfrontal, puis analyse et informe l'amygdale pour donner une réponse émotionnelle appropriée. S'il n'y a pas peur, il y aura une inhibition de cette réaction. La peur est donc une accumulation d'images, d'odeurs, de gouts, de sensations environnementales... Accumulée le long de nos années et expériences par le biais de notre environnement propre, chaque individu né et vit dans un environnement propre, et de ce fait créer et subit ses propres peurs en fonction de son environnement.
Il n'appartient qu'à nous de prendre conscience de ne ce que nous sommes.
Un chef d'œuvre ou seule la fin peut se définir par nos esprits ! Une satire de notre plausible futur ?