Valyav

Valyav

1,105 points
Plus

La seule chose qui soit plus impitoyable et cynique que les affaires du monde politique, c'est la politique du monde des affaires.

La Russie, l'Ukraine et le reste du monde qui observe
Valyav
Valyav
1 sem

@Pop3: Ours = Russie / Ukraine = canetons

Trique shot au tennis
Valyav
Valyav
1 sem

@Pop3: ah oui bien vu Michel !

Championnat d'europe féminin de 4 x 400 en 2014
Valyav
ValyavEli Manning
1 sem

"on va regarder la bagarre entre l'Ukraine et la Russie"

Pokerogue : un rogue lite pokemon développé par un fan. Comp...
Valyav
ValyavTriforce
2 sem

@dobbey: saloperie d'autocorrect

Alors que le gouvernement souhaite économiser, l’Élysée s’ap...
Valyav
Valyav
3 sem

@Waio: je comprends totalement ton point de vue et le fait que dans le contexte d'un appel à se restreindre le fait de lancer un appel d'offres pour la fourniture de plus de 10.000 bouteilles puisse paraître comme un pied-de-nez. Pour autant, le coût engagé ne me semble pas disproportionné, et au-delà de l'image de l'Elysée en lui-même il y a aussi celle de nos producteurs qui est en jeu. Le champagne est une fierté française. C'est certes un symbole du luxe et de la démesure mais c'est l'étendard de notre savoir-faire et je pense qu'il est important de le mettre en avant dans le cadre de réceptions de nos vis-à-vis étrangers

Alors que le gouvernement souhaite économiser, l’Élysée s’ap...
Valyav
Valyav
3 sem

@Atmoz: alors je n'ai pas le détail, j'ai repris des exemples sortis dans la presse pour illustrer le propos, mais les exemples de ce type sont légion à la mairie de Paris. Il y a un manque de contrôle déplorable.
Pour la source des exemples que je cite : https://www.lefigaro.fr/vox/societe/pour-reduire-sa-dette-la-mairie-de-paris-doit-en-finir-avec-les-depenses-extravagantes-20240314

Alors que le gouvernement souhaite économiser, l’Élysée s’ap...
Valyav
Valyav
3 sem

@Waio: c'est une question d'image et de représentation. Le champagne a certes une image connotée mais c'est aussi un des fers de lance de notre savoir faire. On se l'arrache aux quatre coins du monde, ça ne me choque pas qu'on en propose à l'occasion des événements organisés par la présidence

Alors que le gouvernement souhaite économiser, l’Élysée s’ap...
Valyav
Valyav
3 sem

Comme dit dans l'article c'est une commande pour 4 ans, portant sur l'ensemble des réceptions et cocktails organisés par l'Elysée, pour un montant total de 550.000 euros soit un peu moins de 150.000 euros par an.
Le nombre de bouteilles est certes impressionnant mais il faut le replacer dans son contexte. Honnêtement je suis bien plus effaré par les dépenses de la mairie de Paris qui valide concrètement tout et n'importe quoi : 210.000 euros pour un projet d'étude sur les pratiques langagières des Araméens, 50.000 euros pour l'émission d'une monnaie locale à Paris, 10.000 euros pour former et sensibiliser à l'utilisation de «marmites norvégiennes», etc.

[PAYANT] "De toute façon, dans l’année qui vient, je va...
Valyav
Valyav
1 mois

@bzerath: en effet com trop long, pas fait gaffe, je mets la suite :

Le mois de janvier signe le « réarmement du pays », clamé par le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse, le 16 janvier. Mais, en parallèle, la Russie déploie ses armes hybrides contre les intérêts nationaux : campagnes de désinformation à grande échelle et attaques cyber. Le 17 janvier, les Russes accusent la France d’avoir envoyé des mercenaires combattre aux côtés des Ukrainiens, assurant qu’une soixantaine d’entre eux ont été tués lors d’un bombardement à Kharkiv. Une « manœuvre » directement pilotée par le GRU, le renseignement militaire russe, démontrent les autorités françaises.

Vladimir Poutine ne comprend que le rapport de force

Le 12 février, Paris révèle l’existence d’un réseau russe, constitué de 193 sites et baptisé « Portal Kombat », destiné à inonder les réseaux sociaux francophones de fausses informations sur la guerre en Ukraine. Deux jours plus tard, l’Elysée est saisi d’effroi en lisant le tweet de l’ancien premier ministre russe, Dmitri Medvedev, compris comme une menace de mort : « Macron semble avoir eu tellement peur d’un assassinat réel ou présumé dans la ville nazie de Kiev qu’il a non seulement annulé son voyage dans cette ville, mais a également décidé de partager la capacité nucléaire avec d’autres Européens », écrit le fidèle de Vladimir Poutine.

Deux jours plus tard est annoncé le décès de l’opposant russe Alexeï Navalny. Le 22 février, le ministre des armées, Sébastien Lecornu, révèle aussi qu’un système de contrôle aérien russe a « menacé d’abattre » des avions de reconnaissance français opérant dans l’espace aérien international au-dessus de la mer Noire. Les militaires notent également un accroissement des mouvements d’intimidation de bâtiments de guerre russes. « C’est vieux comme la guerre froide », mais « la Russie joue avec les seuils en matière d’agressivité », dénonce M. Lecornu sur RTL.

Emmanuel Macron, qui durcit le ton face au « régime du Kremlin », s’agace des critiques faites contre un supposé manque de soutien de la France à l’Ukraine, en seizième place en matière d’aide militaire, selon l’Institut Kiel. Pour faire mentir ce discours, incompatible avec le leadership revendiqué par Paris, la France dévoile, le 4 mars, la liste complète de ses livraisons d’armes à Kiev, ce qu’elle refusait de faire jusqu’ici, à la différence de la plupart de ses partenaires. A Volodymyr Zelensky, de passage à Paris le 16 février, au lendemain de la chute d’Avdïïvka, il promet jusqu’à 3 milliards d’euros d’aide militaire en 2024, sans que l’enveloppe soit budgétée. Emmanuel Macron, dit-on à l’Elysée, sait que Vladimir Poutine ne comprend que le rapport de force.

Sur la scène nationale, cette offensive belliqueuse n’est pas dénuée d’arrière-pensées électorales. Emmanuel Macron imagine, en dramatisant les enjeux, installer un face-à-face avec le Rassemblement national, accusé de complaisance avec la Russie. A trois mois des élections européennes, il s’agit de faire sortir du bois le parti de Jordan Bardella, en lui intimant de choisir son camp : pour ou contre le soutien à Kiev.

« Emmanuel Macron joint l’utile à l’agréable », sourit le président de l’Union des démocrates et indépendants, Hervé Marseille. Mais l’initiative du président français, mal comprise à l’international, peine aussi à être lisible par les Français, qui rejettent l’idée d’envoyer des troupes à Odessa…

[PAYANT] "De toute façon, dans l’année qui vient, je va...
Valyav
Valyav
1 mois

Emmanuel Macron trinque, un verre de whisky à la main. La nuit s’étire, ce 21 février, dans le salon des portraits, à l’Elysée. Le chef de l’Etat répond à ceux qui le félicitent pour son « beau discours » en l’honneur des résistants arméniens Missak et Mélinée Manouchian qu’il vient de faire entrer au Panthéon. Mais le président de la République est songeur. La situation en Ukraine, envahie par les troupes russes depuis deux ans maintenant, se dégrade. La guerre s’enlise. « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa », lâche, d’un air dégagé, le chef de l’Etat devant une poignée d’invités.

Cinq jours plus tard, le 26 février, Emmanuel Macron répond, depuis la salle des fêtes de l’Elysée, à une question sur un éventuel envoi de troupes occidentales en Ukraine. La conférence internationale sur l’Ukraine, qui rassemble vingt chefs d’Etat et de gouvernement européens, vient de se clore. « En dynamique, rien ne doit être exclu », répond le président, sans hésiter.

Tollé international. L’Allemagne dément, comme les Etats-Unis. Sur la scène politique intérieure, les oppositions s’époumonent. « Emmanuel Macron joue au chef de guerre, mais c’est la vie de nos enfants dont il parle avec autant d’insouciance. C’est la paix ou la guerre dans notre pays dont il s’agit », s’offusque la présidente du groupe d’extrême droite à l’Assemblée nationale, Marine Le Pen, sur le réseau social X. « L’ère du n’importe quoi », embraye le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon.

La polémique est à la mesure de la conversion du chef de l’Etat face à la Russie, passé au fil des mois du camp des colombes à celui des faucons. Qu’il semble loin ce mois de juin 2022 où Emmanuel Macron suggérait de ne pas « humilier la Russie » ! Le président français se veut désormais parmi les plus fermes alliés de l’Ukraine, prêt à apporter à Kiev « un soutien sans limites », afin d’assurer la défaite de Moscou. Une volte-face. « Les propos qu’Emmanuel Macron formule sont toujours ultracohérents », défend-on à l’Elysée.

Emmanuel Macron a longtemps pensé qu’un dialogue avec Vladimir Poutine était possible et utile. Lors de ses multiples coups de fil au chef du Kremlin, l’hôte de l’Elysée prend soin de montrer, par un mot, glissé ici ou là, qu’il n’est pas dupe du double jeu de Moscou, précise un participant aux « calls ». Ceux qui l’ont rencontré savent à quel point l’ancien agent du KGB est un maître dans l’art de la dissimulation. « Le plus frappant avec Poutine, c’est qu’il parle avec une toute, toute petite voix », raconte un ministre qui, par deux fois, a rencontré le chef de l’Etat russe.

« Au bout de la recherche diplomatique »

La prise de conscience que Vladimir Poutine est enfermé dans sa logique guerrière et révisionniste est progressive, indique l’entourage du président français. « Call » après « call », l’Elysée observe que le président russe ne formule plus de but stratégique. Les conversations tournent en rond. Les appels s’espacent après la découverte des civils assassinés dans les rues de Boutcha, à la suite du repli précipité des forces russes en mars 2022.

Emmanuel Macron renonce à son rôle de médiateur en septembre de la même année, après un ultime échange sur la sécurisation de la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par les Russes. « Le président a été au bout de la recherche diplomatique. Il y a eu une longue période où il a continué à parler avec Vladimir Poutine. A un moment, il a cessé », souligne-t-on Rue du Faubourg-Saint-Honoré, pour justifier ce changement de pied. « Une radicalisation par déception », interprète un ancien ministre.

Emmanuel Macron « a compris que Poutine l’avait trompé personnellement (…), il a fallu un certain temps, mais le résultat est là », salue Volodymyr Zelensky, qui a accordé un entretien au Monde et à BFM-TV, le 11 mars. Pour signifier ce moment de bascule, le président ukrainien utilise le mot « obdouryty », qui signifie « duper, tricher ». « C’est faire preuve de caractère que d’admettre ses erreurs passées, d’en tirer les leçons et d’aller de l’avant », savoure de son côté le président lituanien, Gitanas Nauseda.

Le soir du 26 février, Emmanuel Macron se doute qu’on le questionnera sur l’envoi de troupes. La veille, le premier ministre slovaque, Robert Fico, a mis le sujet sur la table, pour mieux l’écarter. « Moi, je n’enverrai jamais de troupes au sol », lâche le chef de gouvernement prorusse, révélant que l’envoi de personnels sur le terrain a été évoqué durant les travaux préparatoires de la conférence.

« Remettre de l’ambiguïté stratégique »

Aussi la présidence française prépare-t-elle une réponse millimétrée, « non escalatoire, mais qui permette de remettre de l’ambiguïté stratégique ». Certains homologues européens d’Emmanuel Macron lèvent les yeux au ciel après cette nouvelle « embardée macronienne ». « Votre président, il lance une idée et le temps que nous réagissions, il en a proposé trois en sens inverse », plaisante le premier ministre portugais, Antonio Costa, auprès de l’un de ses interlocuteurs français.

Le chancelier allemand, Olaf Scholz, et le président américain, Joe Biden, prévenus de la teneur des discussions, restent stupéfaits par la forme. « C’est une position légitime sur le fond, mais une manœuvre diplomatique catastrophique. Quand vous faites des réunions chez vous, il faut veiller au consensus, commente un diplomate, Poutine doit être ravi et l’Elysée cherche maintenant à limiter les dégâts. » Emmanuel Macron doit se rendre à Berlin, vendredi 15 mars, pour tenter de se rabibocher avec le chancelier allemand, en compagnie du premier ministre polonais, Donald Tusk.

En se plaçant du côté des faucons, le chef de l’Etat cherche à rattraper le terrain perdu au début du conflit dans les capitales d’Europe centrale, scandinaves et baltes, qui ont longtemps reproché à Paris, comme à Berlin, leur politique d’apaisement avec la Russie, et leurs atermoiements au sujet du soutien militaire à Kiev.

Emmanuel Macron entreprend sa conversion le 1er juin 2023, depuis Bratislava. Ce jour-là, le président français se prononce pour une adhésion rapide de l’Ukraine à l’OTAN, conscient de brusquer Washington et Berlin. Il affirme vouloir accélérer le rythme de l’élargissement de l’Union européenne, pour envoyer un signal fort à Poutine. Les Ukrainiens et leurs alliés espèrent alors que la contre-offensive qu’ils préparent permettra de repousser une partie des forces d’occupation. Mais les forces ukrainiennes butent sur les défenses russes.

A Paris, la faiblesse des troupes ukrainiennes inquiète

Dès cette époque, l’envoi de « troupes au sol » (« boots on the ground », dans le langage militaire) devient une option examinée par les autorités françaises, dans le plus grand secret. Elle est évoquée lors d’un conseil de défense, le 12 juin 2023 à l’Elysée. « Le rôle des militaires est de toujours préparer le maximum d’options possibles, de façon à aider à la décision politico-militaire du président de la République », explique Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, pour lequel il ne faut pas voir dans l’annonce d’Emmanuel Macron une escalade improvisée sur un coin de table. « Ce que dit le président de la République est d’abord un message politique et stratégique. Le premier objectif est d’envoyer [à la Russie] un signal de volonté et d’engagement dans la durée », assure l’officier supérieur.

Depuis la fin 2023, les troupes de Kiev perdent du terrain dans le Donbass. « Il y a aujourd’hui en Ukraine deux lutteurs qui se tiennent à la gorge, assure le général Schill. Il est impossible de savoir lequel des deux va plier le genou le premier, mais il ne faut pas que l’Ukraine perde. C’est notre mission et notre intérêt. »

A Paris, la faiblesse des forces militaires ukrainiennes inquiète. A l’approche de Noël, François Bayrou sort d’une réunion à l’Elysée la mine sombre. Le patron du MoDem et le chef de l’Etat parlent du « rendez-vous avec la nation » qu’Emmanuel Macron prépare pour le mois de janvier afin de relancer un quinquennat en panne. Mais il est aussi question de l’Ukraine. « Emmanuel Macron est inquiet, dit le maire de Pau à l’un de ses proches. Je partage son avis. Ça ne sent pas bon. »

Le mois de janvier signe le « réarmement du pays », clamé par le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse, le 16 janvier. Mais, en parallèle, la Russie déploie ses armes hybrides contre les intérêts nationaux : campagnes de désinformation à grande échelle et attaques cyber. Le 17 janvier, les Russes accusent la France d’avoir envoyé des mercenaires co...

Une plage allemande
Valyav
Valyav
2 mois

(C'est à Majorque)

L'affiche officielle des JO de Paris 2024.
Valyav
Valyav
2 mois

@saian: il a un vitiligo ou c'est censé être de l'ombre ?

L'affiche officielle des JO de Paris 2024.
Valyav
Valyav
2 mois

On dirait un fanart ou une image générée par IA

Clé pas chère.
Valyav
Valyav
2 mois

Joelatrouvaille

Leatherface évolution...
Valyav
ValyavThriller
2 mois

Je trouve que celui de 2003 est le plus réussi

Indiens Albinos = Anglais
Valyav
Valyav
2 mois

@ActionMan: Ed Chie Naan

Paris expérimente un bitume anti-bruit pour diminuer la poll...
Valyav
Valyav
3 mois

"moins trois décibels"

Révolutionnaire

Deux hommes emprisonnés pour avoir coupé le pénis et gelé la...
Valyav
Valyav
3 mois

Un samedi soir classique pour Ixef

Proche métro
Valyav
Valyav
3 mois

Mais attends, tu laisses de côté la meilleure partie de l'annonce ! Crédible/20

IMG
La fille de Raquel Garrido et de Alexis Corbière en garde a...
Valyav
Valyav
3 mois

@KuZartMoBrick0: Kamini non ?

La fille de Raquel Garrido et de Alexis Corbière en garde a...
Valyav
Valyav
3 mois

@KuZartMoBrick0: alors je crois que si tu es d'extrême droite mais que tu attaques des faits généralement attribuables à l'extrême droite mais pour nuire à des politiques d'extrême gauche, on peut considérer que tu restes quand même à l'extrême droite sans pour autant pencher à gauche. Évidemment la réciproque est valable, quoique si l'extrême gauche suit une stratégie d'extrême droite, on pourrait potentiellement lui reprocher de faire le jeu de l'extrême droite, quand bien même elle reste à gauche et rechigne pour autant à être qualifiée d'extrême gauche.
Mon explication est peut être un peu gauche, mais j'espère qu'elle sera suffisamment adroite pour rester au centre de ta question

La fille de Raquel Garrido et de Alexis Corbière en garde a...
Valyav
Valyav
3 mois

"Depuis plusieurs semaines, des internautes liés à l’extrême droite dénonçaient tant sur X que sur TikTok ce qu’ils considéraient comme de l’antisémitisme de la part de la fille des élus de Seine-Saint-Denis."

L'extrême droite qui dénonce l'antisémitisme, c'est émouvant

The Gentlemen | Guy Ritchie | Netflix
Valyav
ValyavOZ
3 mois

Inattendu mais du coup impatient

Kusan: City of Wolves
Valyav
ValyavTriforce
3 mois

Hotline Miami en gros

L'affreux anonyme qui poste une image sans créditer.
Valyav
ValyavOscar Wilde
3 mois

Frissons dans le dos rien que d'imaginer être à leur place