Le Zyklon B, dérivé de l'acide cyanhydrique utilisé dans les chambres à gaz par les S.S. pour l'extermination d'êtres humains, est à la fois célèbre et méconnu. Bien qu'il soit à l'origine, d'environ un cinquième des victimes juives du nazisme.
À la base antiparasitaire, il est, de par son emploi à Auschwitz, notoirement associé à cette dimension industrielle du meurtre qui caractérise la Shoah.
L'étude du Zyklon B est interessante car elle se trouve donc au croisement de l'histoire du génocide et de l'histoire économique.
Alors que les responsabilités des entreprises qui ont construit les moteurs à explosion qui crachaient le monoxyde de carbone dans les chambres à gaz de Treblinka ou fabriqué les fusils et les balles des Einsatz- gruppen qui ont fait plus de victimes n'ent eux n'ont jamais été spécifiquement mises en cause ni eu le meme retentissement à travers l'histoire.
L'emploi de l'acide cyanhydrique sous la forme Zyklon B conservait son caractère de gaz rapidement mortel pour une concentration d'êtres humains. tout en représentant des risques limítés pour un utilisateur averti.
Ainsi A l'automne 1941, les grandes quantités disponibles et l'expérience déjà accumulée par la S.S. à l'occasion d'un usage antiparasite qui, dans leur obsession hygiéniste, était déjà intensif dans les camps de concentration ont permis un détournement relativement discret des quelques tonnes nécessaires à une extermination massive des déportés raciaux
L'acide cyanhydrique (H.C.N.) est un produit chimique connu depuis très longtemps. Son usage comme insecticide dans l'agrumiculture (citronniers et orangers) remonterait aux États-Unis à 1885, En Allemagne, c'est seulement pendant la Première Guerre mondiale que son usage antiparasite se généralise.
Si des essais effectués comme gaz de combat s'avèrent peu concluants, en raison de sa trop grand volatilité, son emploi dans la lutte contre les poux se développe dans les armées allemandes et autrichiennes à partir de 1917.
Un Comité technique de lutte contre les parasites est créé sous la tutelle du ministère prussien de la Guerre et des désinsectisactions sont menées dans des wagons sanitaires, des casernes et des navires. A la suite de la défaite, le comité est transformé, en mars 1919, en société à responsabilité limitée (Deutsche Gesellschaft für Schädlingsbekämpfung mbH, Degesch en abrégé) et cédé à l'industrie chimique privée.
Les usages civils restent cependant limités par l'extrême dangerosité du produit.
En effet, si l'acide cyanhydrique est très efficace pour la destruction des rongeurs et de la plupart des insectes, l'inhalation d'une très faible quantité (1 mg par kg de poids de corps) est mortelle pour l'homme.
Les utilisateurs doivent porter des masques et s'assurer que personne n'entre dans un local en cours de traitement.
Le risque est d'autant plus grand que l'évaporation sous forme gazeuse de l'acide cyanhydrique pur n'a aucun effet irritant susceptible de prévenir de sa présence (il ne dégage qu'une légère odeur
d'amande).
L'utilisation de l'acide cyanhydrique est également rendue difficile par son instabilité chimique qui empêche de le transporter sous cette forme.
Il doit, selon le procédé Bottich élaboré en 1917, être préparé sur le lieu d'utilisation en mélangeant dans un récipient en bois du cyanure de sodium solide avec de l'acide sulfurique.
En 1920, un chercheur de l'Institut Kaiser- Wilhelm de Berlin dépose bien un brevet qui consiste à ajouter à l'acide cyanhydrique un adjuvant qui donne un effet à la fois irritant pour avertir l'utilisateur et stabilisant pour permettre une conservation et un transport sous forme liquide, sans que le flacon soit attaqué.
Le procédé est commercialisé par la Degesch sous la marque Zyklon, mais il n'arrive pas à s'imposer à la place du précédent, notamment parce que l'adjuvant serait susceptible de faire partie des produits considérés comme "gaz de combat par le Traité de Versailles".
C'est en 1926 qu'est présenté un nouveau procédé qui va connaître une sombre renomée, à la suite du précédent appelé Zyklon A: Le Zyklon B.
C'est pour ça qu'il faut créer de la richesse, encourager le travail, l'entreprise, l'investissement dans les technologies d'avenir, beaucoup d'agilité avec de la formation vers ses secteurs d'activités, chercher la croissance et de la productivité.
Une fois qu'on aura ça on pourra parler de redistribution, en commencant par generaliser les dispositifs de partage de la valeur qui existe dans les grandes boites, en devellopant l'actionariat salarié afin que ceux qui bossent profitent des fruits du capital qu'ils ont créer (un peu comme dans la majorité des boites du cac 40 genre lvmh,total, bouygues ,vinci ou orange) ne pas combattre le capitalisme comme don quichotte combat les moulins à vents mais le democratiser et y associer le maximum de gens , faire bosser plus de monde et mieux repartir les "charges sociales" afin que ce ne soit pas que ceux qui bossent qui doivent quasi exclusivement, financer le système sociale du pays, encore plus dans un pays vieilissant.
Il faut avant tout un plus gros gateau, si on veut que tout le monde est une plus grosse part.
Apres c'est pas facile à faire comprendre au cassos, c'est plus simple de leur dire que demain tout sera gratuit et que la retraite sera a 60 ans car on va taxer ceux qui ont de la thune ou que ce sont les arabes qui leurs volent leur travail et que d'un coup de baguette magique on va sortir de l'UE et de l'OTAN et on revivra comme au temps béni des colonie tel la chanson de Michel Sardou.
Il y a un chemin mais il faut se sortir les doigts du cul
Tondelier: Abrogation de la reforme des retraites, gratuit, gratuit, gratuit, gratuit tout gratuit.
Et le RN qu'est ce qu'ils sont mauvais eux aussi, je comprends pouequoi ils passent leur temps à ne rien dire, des qu'ils l'ouvrent ils disent de la merde, ils n'ont bosser sur rien des qu'un sujet devient un peu technique ils bégayent.
C'est affligeant.
