J'ai déjà dû le raconter ici, mais quand j'étais dans l'adolescence, j'avais un pote qui avait un ordinateur et une connexion stable a internet (l'égal d'un bourgeois pour l'époque, dans ma contrée natale).
Ainsi, vu qu'on était tout deux dévorés par nos hormones respectives, nous nous organisions des mercredis après-midi branlettes - pendant que sa mère bossait - sur les films de boules téléchargés par son père. Le but étant bien sur de se tripoter chacun dans son coin en gardant les yeux rivés sur l'écran, histoire d'éviter toute œillade sur le chibre de l'autre, et de faire comme si de rien était une fois nos hormones respectives calmées pour un temps.
Aussi, un après-midi comme les autres, nous nous réunîmes une fois de plus sous prétexte de faire nos devoirs, donnant le change juste ce qu'il faut le temps que sa maman aille bosser.
La porte claquée et le bruit du moteur entendu, nous nous précipitâmes devant l'ordinateur, presque pantalon et bite à la main d'avance. Je ne me rappelle pas la teneur de la vidéo malheureusement - je sais en revanche que je dois certainement ma fascination pour les rouquines à ces vidéos, les vidéos de son père en avait beaucoup - mais toujours est-il qu'au bout d'un moment, mon camarade reboutonne son pantalon et se dirige vers les toilettes. Décidant de profiter de l'occasion d'être pour une fois seul pour exulter, je passe en mode turbo-poignet 9000 et astique comme si la survie du monde en dépendait.
C'est à ce moment là que maman rentre dans la chambre, consternée par ce qu'elle voit et bouche bée d'horreur, alors que j'arrive tout juste au bout de ma peine. Elle était revenu pour récupérer son portefeuille qu'elle avait oublié et était venue nous dire qu'il y restait de la pizza, si nous avions faim. Silence de mort. Je la regarde, elle me regarde, la gonzesse sur l'écran couine comme pas permis, un bruit de chiotte se fait entendre dans le lointain. Mon pote revient, apparemment horrifié de voir sa mère, mais je lis dans son regard un possible espoir de se soutenir l'un l'autre dans la terrible épreuve qui nous attend.
Espoir qui disparaît bien vite, et c'est une lueur malfaisant que je peux désormais lire sur sa face. L'air consterné, il se tourne alors vers moi, et m'invective pour savoir ce qui me prend, ce que je fais et si je ne suis pas un peu taré dans ma tête. Je retiens alors une larme pleine de regret pour notre belle amitié volant désormais en éclats, pendant que d'autres commencent à goutter sur la moquette.
Résultats des courses, banni de chez lui à vie, privé de gameboy pendant trois mois, et j'ai le plaisir d'entendre cette mésaventure à chaque réunions de familles, chaque fois que mes vieux ont un coup de trop dans le nez, et ce que ce soit en famille, devant mes amis, ou quand je présente une copine.
De nouveau, Alexandre, si tu me lis, sache que je te ré-encule, sale connard de traître.
Ptite csb au passage //fut une époque, j'étais avec fille que je pensais être nymphomane. On se voyait souvent, très souvent même, et presque systématiquement, on éprouvait les ressorts de son sommier. Même quand j'étais une grosse loque à cause de la fatigue, elle se démenait comme un petit soldat.
Et un jour, j'ai appris que son premier mec - celui qu'elle avait eu juste avant moi - lui avait expliqué que pour un homme, ne pas se vider les couilles tout les deux jours grand max était très douloureux, et que ce mal était connu sous le nom du syndrome des couilles bleues. Aussi, elle préférait s'en charger plutôt que de me laisser me pignoler dans mon coin.
Voila ce qui se passe lorsqu'on croit qu'un animal sauvage est devenu un gentil petit nounours, et que de ce fait, on peut venir le caresser comme un chat.
"Cette app alimente la nature egocentrée et narcissique des femmes en leur offrant la culture du selfie et un buffet de bite au milieu duquel choisir. Cela tourne beaucoup de ces filles en pétasses tatillones avec une attitude merdique. La plupart d'entre vous ici bas n'a rien d'autre à offrir que vos regard condescendant et vagins usés."