PrésentationPresseDroits d&amp;#39;auteurNous contacterCréateursPublicitéDéveloppeursRésilier vos abonnementsConditions d&amp;#39;utilisationConfidentialitéRègles et sécuritéPremiers pas sur YouTubeTester de nouvelles fonctionnalités© 2024 Google LLC

She CALLED a White Man RACIST and Jesse INSTANTLY Shut HER Down. She was SPEECHLESS!


Héberger des images
Hébergez vos images en toute simplicité.


24/14/kf3t.jpg - Visionneuse Zupimages


Something went wrong, but don’t fret — let’s give it another shot.


Veuillez mettre à jour votre navigateur Votre navigateur n&amp;#39;est plus compatible. Mettez-le à jour pour profiter au mieux de YouTube et de nos dernières fonctionnalités. En savoir plus Google Chrome Opera Microsoft Edge Mozilla FirefoxMe le rappeler plus tard


Cinq collègues anthropologues se voient interdites de colloque au Canada. Leur panel s’intitulait « Let&#039;s Talk about Sex, Baby : Why biological sex remains a necessary analytic category in anthropology » ( soit « Parlons sexe et procréation : pourquoi le sexe biologique demeure une catégorie analytique nécessaire en anthropologie ») – et devait se tenir en novembre à Toronto. Il s’agit du Congrès annuel 2023 de l’American Anthropological Association (AAA) et de la Société Canadienne d’Anthropologie (CASCA) sur le thème des « Transitions ». Mais les conseils d’administration de ces deux instances les ont « déprogrammées » au motif que « l’expression des idées avancées pouvait nuire aux membres trans et LGBTQI de la communauté anthropologique et au-delà ».
À LIRE AUSSI : &quot;Non à la censure idéologique !&quot; L&#039;appel d&#039;universitaires à reprogrammer la conférence de Sylviane Agacinski
Ce panel mettrait en cause « le respect pour les valeurs, la sécurité et la dignité » de la communauté anthropologique, ainsi que « l’intégrité scientifique du programme ». La censure s’exerce sur Kathleen Lowrey, Elizabeth Weiss, Silvia Carrasco, Kathleen Richardson et Michèle Sirois.
La liberté scientifique compromise
Le raisonnement visant à interdire de parole les anthropologues est fallacieux. Ce panel réunit des femmes anthropologues de quatre pays, de trois langues différentes et trois domaines d&#039;anthropologie. Elles s’interrogent sur l&#039;effacement des femmes à la fois dans la vie sociale et dans la recherche. Dans son argumentaire, Kathleen Lowrey, reconnaît que les anthropologues n&#039;ont pas tous besoin de différencier sexe et genre. Mais l’AAA adopte quant à elle la position officielle selon laquelle le fait de soutenir l&#039;utilisation des catégories de sexe biologique (par exemple, mâle et femelle, homme et femme) mettrait en péril la sécurité de la communauté LGBTQI. Dans sa présentation intitulée « No bones about it : skeletons are binary ; people may not be »(soit « Pas de doute : les squelettes sont binaires ; peut-être pas les gens »), Elizabeth Weiss écrit : « En médecine légale, cependant, les anthropologues devraient travailler (et travaillent) sur les moyens de s&#039;assurer que les découvertes de squelettes sont identifiées à la fois par le sexe et l&#039;identité de genre. »
 « Ce processus d’exclusion ressemble fort au phénomène Lyssenko. »
L’anthropologue espagnole Silvia Carrasco prévoyait de présenter des données sur « l&#039;oppression, la violence et l&#039;exploitation basées sur le sexe » et la difficulté de résoudre ces problèmes lorsque le sexe biologique est désavoué. Le résumé de l’anthropologue britannique Kathleen Richardson mettait en évidence les problématiques liées aux disparités matérielles entre les hommes et les femmes dans l&#039;industrie des technologies et qui sont effacées par le fait de compter les hommes qui s&#039;identifient comme trans, plutôt que par le fait d’avoir plus de femmes qui entrent dans la profession. L&#039;anthropologue québécoise Michèle Sirois a proposé un compte rendu ethnographique des moyens mis en place par les féministes du Québec pour documenter, clarifier et s&#039;opposer à l&#039;industrie de maternité de substitution qui se cache sous couvert « d’équité » et « d’inclusion » et dont les politiques d’exploitation des femmes pauvres sont cyniquement formulées comme libératoires.
La décision de jeter l’anathème sur certains participants de ce colloque relève d’une décision fondée sur l’idéologie plutôt que sur la rationalité. Ainsi les données scientifiques et biologiques incontestables sont effacées au profit de l’idéologie du genre issue d’une sociologie dénaturée. La censure subie par nos collègues anthropologues est l’illustration même que la liberté scientifique est compromise au profit d’une idéologie politiquement correcte.
Les germes du totalitarisme ?
Non seulement cette décision interdit d’emblée le débat d’idées, mais ce processus d’exclusion ressemble fort au phénomène Lyssenko (ce biologiste et généticien de l&#039;URSS qui s&#039;est acharné jusqu&#039;à l&#039;aberration à faire coller la science aux principes du régime stalinien), exemple de perversion de la science par l’idéologie avec le blanc-seing de la communauté scientifique. Plus grave encore, l’intention affichée pour l&#039;AAA et la CASCA de « se renforcer et s’unifier » en introduisant dans le futur « une évaluation approfondie des processus d’évaluation des soumissions aux colloques annuels, avec la participation des conseils d’administration » ressemble plus aux pratiques totalitaires que nous avons connues lors des dictatures communistes ou fascistes.
 « Nous, signataires de cette lettre, vous adjurons, pour la liberté scientifique, de réintégrer nos cinq collègues dans votre colloque. »
La soumission de sociétés savantes à l’idéologie du genre, du wokisme ou de l’intersectionnisme, est consternante. Pour mémoire, les totalitarismes prospèrent grâce aux lâches, aux opportunistes et aux faibles d’esprit, ce qui doit nous faire comprendre que l’heure est grave.
À LIRE AUSSI : Nathalie Heinich : &quot;Le radicalisme académique n’est qu’une forme sophistiquée de la bêtise&quot;
Certains anthropologues parmi les signataires ont grandi et vécu dans les pays communistes d’Europe de l’Est, et sont profondément outrés et choqués par ce type de censure et d’exclusion. Ils se rappellent avoir reçu de telles lettres durant le totalitarisme, les accusant de « non-respect pour les valeurs, la sécurité et la dignité des membres » du Peuple ou d’attenter à « l’intégrité scientifique du programme » du Parti.
Nous, signataires de cette lettre, vous adjurons, pour la liberté scientifique, de réintégrer nos cinq collègues dans votre colloque.
Premiers signataires :
1. Albert Doja, Professeur d’Anthropologie, Université de Lille
2. Claudio Rubiliani, Physiologiste de la Reproduction, Docteur d’État.
3. Céline Masson, psychanalyste, Professeur des universités
4. Caroline Eliacheff, pédopsychiatre, psychanalyste
5. François Rastier, directeur de recherche honoraire au CNRS
6. Pierre-André Taguieff, philosophe et historien des idées, CNRS
7. Martine Benoit, Professeur d’études germaniques, Université de Lille
8. Isabelle de Mecquenem, Professeur agrégée de philosophie
9. Bernard Ferry, psychanalyste
10. Laurence Croix, Enseignant-chercheur, CRPMS / IHSS, université Paris-Cité, France
11. Luis Fernando Macias García, Psicoanalista, profesor Universidad de Guanajuato, Mexico
12. Laure Caille, présidente Libres MarianneS
13. Jean Szlamowicz, linguiste, Professeur des universités
14. Nathalie Heinich, sociologue, Directrice de recherche
15. Patrick Miller, psychiatre, psychanalyste
16. Brigitte Poitrenaud-Lamesi, Maître de conférences émérite en Études italiennes, université de Caen Normandie
17. Luc Vandecasteele, médecin généraliste
18. Samuel Veissière, PhD, Anthropologist, psychosocial clinician
19. Michèle Vianès, Présidente de Regards de Femmes
20. Eva-Marie Golder, psychologue, psychanalyste
21. Didier Sicard, médecin interniste
22. Daniel Halpérin, Pédiatre, Genève (Suisse)
23. Wiktor Stoczkowski, anthropologue, École des hautes études en sciences sociales
24. Pierre Lévy-Soussan, psychiatre, psychanalyste (SPP., IPA).
25. Dominique Schnapper, sociologue
26. Maurice Berger, pédopsychiatre, professeur associé de psychologie de l&#039;enfant
27. Louise L. Lambrichs, écrivain, chercheuse indépendante CRPMS
28. Béryl Koener, Pédopsychiatre, MD PhD
29. Jean-Daniel Lalau, Professeur d’endocrinologie et praticien hospitalier
30. Claude Habib, Professeur honoraire université Sorbonne nouvelle
31. Jean-François Braunstein, philosophe, Professeur des universités
32. Hubert Heckmann, maître de conférences en littérature, Université de Rouen
33. Joël Kotek, Professeur de Sciences Politiques (ULB)
34. Sonia Timsit, psychiatre, psychanalyste
35. Philip Carl Salzman, Emeritus Professor of Anthropology, McGill University
36. Roy Eappen, Endocrinologist
37. Marie Myriam Boutillier, Chef d&#039;établissement
38. Frances Widdowson, Professor
39. Barbara Kay, journaliste
40. Guillaume Gillet, Psychologue clinicien, psychothérapeute, chargé de cours
41. Caroline Valentin, avocate
42. Luana Maroja, Professor of biology
43. Valeria Martucci Psychologue clinicienne, Psychothérapeute
44. Gilles Falavigna, essayiste et éditeur
45. Jacqueline Schaeffer, psychanalyste, Société psychanalytique de Paris
46. Jean-Pierre Lebrun, psychiatre, psychanalyste
47. Jean-Paul Leclercq, Psychologue
48. Anne Brun, Professeur de Psychopathologie et psychologie clinique, université Lyon 2
49. Jean-Marie Lacroix, Professeur des Universités, génétique, Université de Lille
50. Belinda Cannone, comparatiste, Université de Caen
51. Véronique Segonne, Psychanalyste, Ancienne attachée de l&#039;AP-HP
52. Annie Sugier, Présidente de la Ligue du Droit International des Femmes
53. Jean Giot, professeur émérite, Université de Namur (Belgique)
54. Marianne Baudin, Professeur émériteUniversité Paris-Sorbonne, psychanalyste
55. Nora Markman, psychanalyste
56. Xavier-Laurent Salvador, Maître De Conférences
57. Eric Suire, Professeur des universités
58. Philippe de Lara, Maître de Conférences
59. Gilbert Abergel, psychanalyste
60. Michel Fichant, Professeur émérite des universités
61. Anne-Laure Boch, neurochirurgien
62. Laurent Le Vaguerèse, Psychiatre-psychanalyste
63. Isabelle Denys médecin gynécologue médicale
64. Wilfried Gontran, psychologue, psychanalyste
65. Claire Squires, psychiatre, Maître de conférences honoraire des universités
66. Gérard Rabinovitch, sociologue, chercheur honoraire CNRS
67. Joseph Ciccolini, Pharmacologue, Aix Marseille Univ &amp; Assistance Publique Hôpitaux de Marseille
68. Monette Vacquin, psychanalyste
69. Paul Denis, Psychiatre, psychanalyste, Membre de la Société psychanalytique de Paris.
70. Michel Tibayrenc, docteur en médecine, docteur d’État ès sciences


&quot;Non à la soumission à l&#039;idéologie transgenre&quot; : cinq femmes anthropologues bannies d&#039;un colloque pour transphobie


 
 
 
Lors de la célébration d’un mariage à Trappes (Yvelines), le cortège de véhicules tirait aux mortiers dans la ville. Une des personnes a été interpellée pour défaut de permis.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Par Florent Jacono
 Publié le 1 Oct 23 à 14:27 
 mis à jour le 1 Oct 23 à 14:28 
 
 Un des conducteurs du cortège, conduisait sans permis, cette voiture de location, une Porsche Macan immatriculé en Allemagne ©@PoliceNat78
Les incidents lors des célébrations de mariages ne sont pas rares. Certaines mairies dans les Yvelines ont d’ailleurs décidé de s’en prémunir en demandant une caution aux familles. La Ville de Trappes (Yvelines) a subi les méfaits de ces célébrations excessives, le samedi 30 septembre dans l’après midi.« C’était un cortège de mariage où les participants ne respectaient pas le Code de la route et tiraient aux mortiers », décrivent les forces de l’ordre. 
Une voiture de luxe louée pour l’occasion
La police a reçu plusieurs appels au 17, d’habitants se plaignant de ce cortège qui semait la pagaille dans la ville. À la sortie de la mairie, la police arrête les mariés et les participants pour entrave à la circulation et jets de mortiers. 
Parmi les témoins des mariés, un individu avait une voiture de luxe en location : une Porsche Macan, immatriculée en Allemagne. 
« Il n’est pas rare de croiser ces véhicules sur ce type d’événements. Ils louent de grosses cylindrées pour la journée et quelques centaines d’euros »,
Il intervertit sa place avant le contrôle de police
Lorsque la police veut contrôler ce véhicule, elle prend en flagrant délit le conducteur en train d’intervertir sa place avec le passager. La personne en question n’avait pas de permis de conduire. Des faits reconnus en audition par l’individu contrôlé.
« Il était en récidive de défaut de permis de conduire », précise la même source policière. Cette même personne âgée de 20 ans avait également des mortiers en sa possession dans le coffre de sa voiture.« Il s’agissait d’un gros tube qui faisait plus d’un 1 m de long et balançait 308 coups », précise la police. Une détention d’artifice interdite par la loi.
Le véhicule de luxe en location a été placé à la fourrière. Pour conduite sans permis, l’individu risque jusqu’à un an d’emprisonnement et 15 000 € d’amende.
Vidéos : en ce moment sur Actu
Suivez toute l’actualité de vos villes et médias favoris en vous inscrivant à Mon Actu.
 
 
 
 
 
 

Lors de la célébration d&#039;un mariage à Trappes, le cortège tire au mortier dans la ville


 Guillaume Dominguez / Crédit photo : CARINE SCHMITT / HANS LUCAS / HANS LUCAS VIA AFP
 07h10, le 24 septembre 2023, modifié à
 08h58, le 24 septembre 2023
 
&quot;Des violences inacceptables où l&#039;on voit où mène la haine anti police&quot;, a condamné ce samedi Gérald Darmanin, ministre de l&#039;Intérieur après l&#039;attaque d&#039;une voiture de police à coup de barre de fer en marge des manifestations contre les violences policières à Paris. Cette scène, filmée, a été relayée sur les réseaux sociaux par le ministre de l&#039;Intérieur lui-même pour dénoncer son caractère choquant.
Sur cette vidéo, les internautes peuvent y voir une vingtaine de manifestants - le visage masqué et vêtu de noir - courir derrière une voiture de police, qui tente de se frayer un chemin au milieu de la circulation. Bloquée quelques dizaines de mètres plus loin, la voiture de police est rattrapée par les manifestants armés de barres de fer. Plusieurs d&#039;entre eux vont alors s&#039;attaquer au véhicule, brisant plusieurs vitres. C&#039;est à ce moment-là que l&#039;un des policiers présents à l&#039;arrière du véhicule sort. Arme à la main, il met en joue les assaillants leur demandant de reculer avant de remonter quelques secondes plus tard dans la voiture.
&quot;La mise en joue est totalement légitime&quot;
Trois des quatre policiers présents à bord ont été légèrement blessés. Pour Matthieu Vallet, représentant du syndicat des commissaires de police SICP, le policier a agi pour se protéger. &quot;On voit qu&#039;on a une dizaine de sorte de sauvages qui veulent se faire du policier. Donc le policier, qui est acculé avec son équipage, sort et met en joue les individus pour éviter d&#039;être agressé physiquement. La mise en joue est totalement légitime et prévue par notre cadre d&#039;emploi pour protéger l&#039;équipage de police qui essaye de s&#039;extirper, de s&#039;extraire de la situation&quot;, justifie-t-il. 
&quot;On fait une manifestation sur la thématique des violences policières et en fait qui utilise les violences contre les policiers ? Voilà… CQFD&quot;, a pour sa part réagi Jean-Christophe Couvy, secrétaire national du syndicat SGP Police FO. &quot;On sait qu&#039;aujourd&#039;hui on est des cibles, on sait qu&#039;on a des personnes qui viennent sur des manifestations pour tuer du flic, pour blesser des flics. C&#039;est juste scandaleux et nous sommes révoltés&quot;, a-t-il conclu.
Et selon Laurent Nunez, préfet de police de Paris, trois manifestants présumés suspects ont été interpellés une enquête a été ouverte par le parquet de Paris. Excepté dans la capitale, les 120 manifestations organisées partout en France se sont globalement déroulées dans le calme. 31.300 personnes y ont participé, selon le ministère de l&#039;Intérieur.


Marche contre les violences policières : une voiture de police attaquée à Paris, un policier sort son arme


 Onze élèves entre 7 et 10 ans ont été piqués et trois adultes. Le nid de frelons a été neutralisé dans la matinée. 
 
 
Onze enfants et trois adultes ont été piqués ce lundi matin suite à une attaque de frelons asiatiques dans une école primaire du village de Saint-Sauveur, près de Bressuire dans les Deux-Sèvres. 
 
 
Les faits se sont déroulés à l&#039;heure d&#039;entrer en classe, vers 9h. Alors que les enfants patientaient tranquillement avant l&#039;ouverture des portes, les frelons ont fondu sur eux et se sont &quot;accrochés à leurs vêtements et leurs cheveux&quot;, a expliqué l&#039;une des enseignantes à nos confrères de La Nouvelle République.
 
 
 
Le nid de frelons asiatiques a été localisé dans un arbre situé juste en face de l’école. &quot;Les frelons ont suivi les enfants jusque dans l’école et nous avons tenté de nous réfugier dans une salle où il n’y en avait pas&quot;, a-t-elle précisé
Les enfants piqués ont entre 7 et 10 ans et l&#039;un d&#039;eux est asthmatique. Trois femmes ont également été piquées. Tous sont restés à l&#039;intérieur de l&#039;établissement en attendant l&#039;arrivée des secours, certains étaient choqués et en pleurs. Une quarantaine de pompiers a été dépêchée sur place avec des médecins pour contrôler leur état de santé. 
Les enfants ont été évacués dans le gymnase. Aucune hospitalisation n&#039;a été nécessaire. Les autres élèves ont été accueillis dans d&#039;autres bâtiments avant que leurs familles ne viennent les chercher. 
Le nid de frelons a été traité pour être neutralisé dans la matinée. 
 

&quot;Accrochés aux vêtements et aux cheveux&quot;, des frelons asiatiques attaquent les élèves d&#039;une école, plusieurs enfants et adultes piqués


 
 
Un homme de 32 ans est tombé dans un traquenard, à Trappes (Yvelines), alors qu’il attendait une escort-girl.
 
 
 
 
 
 
 
 
 Un homme est tombé dans une embuscade à Trappes (Yvelines). Il attendait une escort-girl… des hommes cagoulés ont surgi. ©Mathieu Normand – illustration
Son rendez-vous galant a mal tourné. Un trentenaire a été victime d’un véritable traquenard dans la journée du mardi 12 septembre 2023, à Trappes (Yvelines).
Il est aux alentours de 14 h lorsque cet homme venu de Savigny-sur-Orge (Essonne) se gare square Honoré-Daumier. Dans sa Toyota, il attend l’escort-girl avec qui il a fixé un rendez-vous.
Obligé de retirer 700 euros
Pas un jupon à l’horizon… Mais trois individus qui surgissent, cagoulés.
Sous la menace, ils obligent la victime à retirer 700 euros à la banque. Au passage, ils en profitent pour lui voler tous ses papiers d’identité.
Le forfait accompli, l’un des malfrats porte un coup de couteau dans l’épaule du malheureux. Il est laissé légèrement blessé sur un parking d’Élancourt.
L’homme a été admis à la Clinique privée de l’Ouest parisien.
Sa voiture a été retrouvée plus tard, rue Honoré de Balzac, à Trappes.
Vidéos : en ce moment sur Actu
Suivez toute l’actualité de vos villes et médias favoris en vous inscrivant à Mon Actu.
 
 
 
 
 

Il attend une escort-girl à Trappes, trois hommes cagoulés surgissent


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La victime de 24 ans a reçu un tir dans la tête alors qu’elle se trouvait dans son appartement du 10e arrondissement dimanche soir.
 
 
 
 
 
 
 
 
La femme victime de tirs d’arme à feu à Marseille (Bouches-du-Rhône) dans son appartement est en état de mort cérébrale, a indiqué le parquet de Marseille.
 
 
Dimanche vers 23h30, cette femme âgée de 24 ans a été grièvement blessée après avoir reçu un tir d’arme à feu dans la tête et alors qu’elle se trouvait dans son appartement situé au 3e étage d’un immeuble de la cité Saint-Thys, dans le 10e arrondissement de la cité phocéenne. Les tirs, provoqués par un individu assis à l’arrière d’un scooter et armé d’une kalachnikov, visaient un point de deal de la cité. Le conducteur du scooter avait ensuite fait demi-tour avant de quitter les lieux. La victime avait été transportée à l’hôpital avec un pronostic vital engagé et immédiatement placée en réanimation.
 
À lire aussiMarseille: derrière les fusillades, une véritable guerre de territoires entre trafiquants de drogue
 D’autres appartements touchés par des tirs
 
Au cours d’une conférence de presse tenue ce lundi après-midi, la procureure de Marseille a indiqué que deux autres appartements ont également été touchés par une rafale tirée à l’aveugle. Deux dames âgées de 79 et de 86 ans se trouvaient dans ces appartements. Ces dernières n’ont pas été blessées, mais ont été «psychologiquement atteintes», d’après la procureure. Selon l’AFP, les violences liées au narcobanditisme ont déjà fait deux victimes collatérales depuis début 2023. Le 10 mai dernier, une femme âgée de 43 ans avait été tuée par balles dans la cité Saint-Joseph, dans le 14e arrondissement. Quelques semaines plus tôt, le 24 avril, un homme de 63 ans avait été tué à proximité d’un point de deal de la cité de la Busserine, toujours dans le 14e arrondissement alors qu’il jouait aux cartes.
 
 
La préfecture de police des Bouches-du-Rhône a indiqué qu&#039;une enquête avait été ouverte et confiée à la police judiciaire et que le dispositif d&#039;intervention et de soutien aux personnes affectées par les actions violentes (DISPAV) avait été activé dans la cité Saint-Thys. «Nous avons évidemment renforcé depuis hier soir la présence policière dans cette cité Saint-Thys, cité dans laquelle se trouvait un point de deal, qui était manifestement ciblé» a déclaré la préfète de police des Bouches-du-Rhône Frédérique Camilleri au cours de la conférence de presse.
 
Une seconde source policière a précisé au Figaro que les deux suspects auteurs des tirs étaient toujours activement recherchés. Sur les lieux de la fusillade, les forces de l&#039;ordre ont saisi une vingtaine d&#039;étuis de calibre 7,62, ainsi qu&#039;une douille de 9 millimètres. Une enquête a été ouverte par le parquet de Marseille pour «tentatives d’assassinats en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de la commission d’un crime».
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Marseille : la jeune femme victime d’une balle perdue en état de mort cérébrale

Mdr le reportage de RMC qui essaie de faire passer Elon Musk pour un méchant racistes complotistes.

Avec en prime des interviews de bobo qui ne le connaissent pas, mais qui faut croire car ils ont lu les tweets d'Elon..


 
Par Sudouest.fr avec AFPPublié le 12/08/2023 à 8h01.
 
 
 
 
Le principal d&#039;un collège de Lisieux dans le Calvados a été retrouvé mort dans des conditions suspectes vendredi matin dans son établissement
 
 
 
«Je suis sûre qu&#039;il s&#039;est fait agresser», a affirmé sur BFM Jeanne Mailhos Vitel, la femme de Stéphane Vitel, principal du collège Pierre-Simon de Laplace, expliquant également avoir vu une voiture «partir en trombe» avant d&#039;entrer dans le collège.
 
 
 
Le directeur d&#039;établissement était sur la route des vacances vendredi matin tôt avec sa famille lorsqu&#039;il a été informé du déclenchement de l&#039;alarme intrusion dans son collège. Il s&#039;y est alors rendu après avoir fait demi-tour, laissant sa femme et ses enfants dans la voiture, selon France Bleu Normandie qui a révélé l&#039;information.
Un coup à la tête
«On trouvait que c’était long. Ma fille s’impatientait, elle est allée voir et elle l’a trouvé étalé par terre... alors elle est sortie en hurlant “il est par terre il est par terre!” », a poursuivi son épouse qui, en dépit d’un massage cardiaque, n’a pas réussi à le ranimer. «Je suis sûre qu’il s’est fait agresser, un coup à la tête je crois».
Les secours ont été appelés vers 07H00 mais n&#039;ont rien pu faire pour le sauver, a indiqué France Bleu.
La piste de l’arrêt cardiaque a d’abord été privilégiée, mais, la victime a été découverte avec une plaie sur le front. La disparition de ce principal a donc été classée comme une « mort suspecte ».
Hommage spontané
Une autopsie sera réalisée rapidement afin de connaître les causes du décès, a indiqué le parquet de Lisieux. La police judiciaire de Caen a été saisie.
Le principal était très «investi» et «passionné» par son métier, «proche de ses élèves, des professeurs, des élus et des associations», a témoigné Sébastien Leclerc, maire (Les Républicains) de Lisieux. Il a précisé que le collège se situe dans «un quartier prioritaire de la ville mais pas si compliqué que çà».
Il ne vivait pas dans son logement de fonction situé au sein du collège, a précisé le parquet à France Bleu.
Des élèves se sont rendus spontanément vendredi dans la journée devant l&#039;établissement afin de rendre hommage à leur principal.
Le soir, des professeurs, collégiens et parents d&#039;élèves se sont recueillis, selon le quotidien Paris Normandie.
M. Vitel était arrivé à la tête de ce collège à la rentrée 2022 pour sa douzième rentrée en tant que proviseur. Il entendait notamment lutter contre le harcèlement scolaire.
«Je m&#039;associe à la peine et à l&#039;émotion des enseignants, élèves et personnels qui pleurent la mort de Stéphane Vitel (...) Une enquête est en cours. Mes pensées et mon soutien tout entier vont à sa famille et à ses collègues», a écrit dans un message posté sur X, anciennement Twitter, le ministre de l&#039;Education nationale, Gabriel Attal. 
 
 
 
 Je m’associe à la peine et à l’émotion des enseignants, élèves et personnels qui pleurent la mort de Stéphane Vitel, principal du collège Pierre-Simon de Laplace à Lisieux. Une enquête est en cours. Mes pensées et mon soutien tout entier vont à sa famille et à ses collègues.
— Gabriel Attal (@GabrielAttal) August 11, 2023
 
 
 
 
 
 

Le principal d&#039;un collège de Lisieux retrouvé mort dans des conditions suspectes

Pubs des annÃ©es 70

REPORTAGE - Au cÅur de la &amp;quot;CAN des Quartiers&amp;quot; de Mantes-la-jolie 2023

An Extended Look at Armored Core 6

Florence Bergeaux-Blackler, experte des Frères musulmans menacée, un homme interpellé

Ce patron de 22 ans ne recrute que des seniors (dont sa mÃ¨re)

« La question très taboue du racisme en Tunisie n’a jamais fait l’objet d’un débat national »

Le MMO parfait est-il trop ambitieux ? - ASHES OF CREATION

La Coupe se joue aussi à la Goutte d’Or

Voici un bon jeu de foot sur navigateur :
https://www.hattrick.org/?inviteRef=A72T9U

Anli

Are u a raciste ?youtube.com

Après les supporters anglais zupimages.net

Acte de bravoure des défenseurs de la laïcité x.com

Michel Sardou - Musulmanes youtube.com

cinq femmes anthropologues bannies d'un colloque pour transphobie marianne.net

tire de mortier a trappe actu.fr

Marche contre les violences policières : une voiture de police attaquée europe1.fr

frelons asiatiques attaquent les élèves d'une école lindependant.fr

Au moins il lui reste de quoi se branler actu.fr

Balle perdue a marseille lefigaro.fr

Reportage RMC sur Elon Musk

sudouest.fr/faits-divers/le-principal-d-un-college-de-lisieux-retrouve-mort sudouest.fr

Les animaux avaient cas être actionnaires...capital.fr

Pubs des années 70 youtube.com

THAÏLANDE : 2 spots géniaux et complètement absurdes - Culture Pub youtube.com

REPORTAGE - Au cœur de la "CAN des Quartiers" de Mantes-la-jolie 2023 youtube.com

Je vais pas manger tout de suite ..

Besoin d'expert en So6 pour réparer mon décodeur

An Extended Look at Armored Core 6 youtube.com

Florence Bergeaux menacé, un homme interpellé.valeursactuelles.com

Souveraineté et Indépendance énergétique de la France : présentation du rapport - 06/04/2023 youtube.com

Ce patron de 22 ans ne recrute que des seniors (dont sa mère)youtube.com

La question très taboue du racisme en Tunisie n’a jamais fait l’objet d’un débat national - Le Monde lemonde.fr

Ash of creation youtu.be

La Coupe se joue aussi à la Goutte d’Or radiofrance.fr