Florilège de connards dans le métro parisien
Aujourd'hui, j'ai croisé une floppé d'enculés dans ce bon vieux métro.
Ça commence par un clodo à St Lazare, le mec était entrain de péter un câble sur son sandwich, sûrement pas assez à son goût. Assis sur son strapontin, tourné sur le côté pour se cacher un peu des autres, il jetait par terre des bouts de fromage d'une violence extreme, il avait l'air furax. La nana en face de lui à tenue une minute avant de s'assoire sur le siége deriere elle, choquée par toute cette violence, pauvre fromage...
Une fois sa recette finni, le putain d'énergumène range son restant de casse-dalle dans son sac, se mouche comme un porc dans un draps blanc, se léve et se dirige vers l'autre bout de la rame du métro, en laissant derriere lui une montagne de fromage, du grand gâchis.
On enchaîne un peu plus tard à Arts et métiers, là un fdp de l'extrême terrorise les passants pour faire marrer la pouf qui lui sert de copine, j'imagine. La trentaine, j'ai pas vue la dégaine du bonhomme à cause du nombre de passants, mais ça reste un magnifique spécimen d'enculé de premiere catégorie.
Ce dernier empêchait les gens de sortir à coup de "nan tu sort pas toi" (avec un ton bien véner) et les achevait en se foutant de leur gueule, certains ont dût se sentir blesser, offenser, peut-être qu'ils y pensent encore à cette heure, traumatisé par l'évenement. Entre les arrêts, il n'arrêtait de pas gueuler, à dire essentiellement de la merde en enlaçant sa poufiasse. Je croise la regard d'une nana qui à l'air effaré de la situation. Il finnit par sortir, deux arrêts plus loins, toujours en gueulant et se foutant de la gueule des gens devant tout le monde.
Et pour finir, sur la ligne 12, un autre clodo de type hippie, la trentaine aussi, la gueule meurtri pas l'alcool et le tabac, rentre en scène en tapant sans aucun rythme contre la pauvre vitre du metro, pendant une trentaine de seconde. Tout ça pour introduire le fameux discours de la mendicité du clodo parisiens : "Bonjours, désolé de vous déranger, mais si vous avez une pièce, du tabac, de la beuh, de la coke, du crack ou de l'héroïne sur vous, ça m'arrangerais bien !!!!!!"
Et il se mit à passer entre les gens avec des petits pas de dance funky, sans regarder ou tendre la mains au gens, completement perché...
Voilà, une journée riche en déchets humains, le tour du zoo était mémorable, les gens avait l'air d'apprécier le spectacle, ça fait plaisir.
T'as la haine parce que le deuxième connard a pas voulu que tu sortes et tu as préféré rater ton arrêt au lieu de lui faire manger une salade de phalanges. Fiotte.
nan j'était pas du même côté de lui. Mais j'ai bien pensé à lui exploser la tronche devant tout le monde, j'aurais été acclamés en héro. De plus il insultait seulement les femmes...
On devrait creer une brigade pour faire ce sale boulot.
Alors, une bonne fois pour toute! En français, héro est l’abréviation d'héroïne, la drogue donc. Que ce soit au singulier ou au pluriel, héros s'écrit de la même manière, voilà.
en même temps déjà les parisiens c'est des beaux FDP alors dans le métro c'est pire
"un autre clodo de type hippie, la trentaine aussi, la gueule meurtri pas l'alcool et le tabac" : clodo du métro = crackhead des enfers.
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