Les histoires de caca sont les meilleures.

Et par soucis d'anonymat je profite du jour saint pour raconter la mienne.


Nous sommes en 2003 après JC, le soleil brille, et je bois mon bol de lait après fini les céréales qui s'y baignaient.

Nul ne le savait, mais à compter de ce jour, mon estomac décida de ne plus supporter le lait pur.

Un petit caca avant de partir, et me voilà sur le chemin du collège où tout se déroulait à merveille.
Mais plus le temps passait et plus la bombe intestinale s'amorçait. Jusqu'à cette dernière heure de cours, où, plié en deux de la douleur, la prof m'envoie avec le délégué à la vie scolaire pour prévenir la famille de venir me récupérer.


Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive, quand l'irrepressible envie de chier fort me prend.

Ma grand mère fut mon salut, et pressant le pas, tel un pressoir à olive je serrai fort les fesses pour tout contenir jusqu'à la maison. Seulement 1 km à pied, courage mon gars.
Encore 900m
800,
600,
500,


Patatra.

La maîtrise de mon sphincter défaille, je ne contrôle plus rien, et un délicieux jus chaud coule dans mon caleçon et bientôt sur ma jambe.


Le mal est fait, mais je sens une deuxième bombe en préparation, qui m'oblige à ne pas ralentir le pas et abandonner la vieille qui se traîne.


Je n'ai, depuis ce jour, plus bu de lait à mon grand désarroi.