Les Maugwups

Je suis sous surveillance.
Les maudgmupes ou (mugwumps) et les cafards ont eu vent de ma situation d’inspecteur de l’interzone.
Des hommes en uniformes viennent taper à ma morte et j’ai le internet plein de cafards qui se glissent jusque sur mon matelas, pour troubler ma nuit,
J’ai osé faire une infiltration, sur ma peau, mon squelette,
Une douleur à faire chier un gosse, une putain de bonasse juive, direct me mettre à poil, un masque sur son nez,

En manque, j’ai le singe vert sur la nuque, le même qui a baisé les negres pour leur refiler le sida avant que les pédés ne viennent colporter cette mode en venant se faire farcir le trou du coup en zambie tous frais payés. Les bamboulas, en goguettes obligés d’offrir leur culs et grosses bites de negros aux touristes en soif de dépaysement et de senteurs épicées pour leur rappeler autre chose que la kitchenette de parisien qui sent le tofu et la harissa.
Le bougnoule ne fait plus fureur, il n’ya qu’a trainer vers les sanisettes pour se voir cracher une vieux blanc deux billets de cinq euros pour une pipe vite fais d’un jeune arabe à la bananane.
Vous en voulez encore ?
Ces putes de français, bien éduqués, obligés de dragouiller dans leurs chambres de morts nés qui pue la chaussette,
Enfants de putes divorcées, frustrés, prés à se livrer à la moindre femelle qui aura la bonté d’écouter les jérémiades de mecs voués à leurs solitude et sans repère masculins.

Je suis dans une baraque de forain, plexi glace jaunis et des gamins se pressent pour avoir un ticket, pour un tour de manège…
« Doucement, que je dis, y’en aura pour tout le monde !!! » Obligé d’aller me maquiller pour plaire aux enfants, certains me suivent à travers la tente,
« Casses toi ! » je dis, en balançant une bouteille vide, le petit s’enfuit,
Du coup, je me sens tout seul devant un miroir sale d’un bar à chier et un public de merde.