Le paradoxe de la violence

@Nufot: 1. La violence psychologique a toujours existé, je vois aucune raison pour qu'elle soit plus intense aujourd'hui qu'avant.
2. C'est chouette de sortir une phrase qu'on entend un peu partout depuis 10 ans, en attendant eux ils ont des bonnes stats pour appuyer leurs propos.
3. Certes mais ça signifie juste qu'une des théories avancées pour expliquer le phénomène est fausse, ça ne change rien.

@Nufot: D'ailleurs http://ourworldindata.org/a-history-of-global-living-conditions-in-5-charts/

@Tokooran: Euh pour la 2, il y a quand même le capital au 21 ème siècle de Thomas Piketty, c'est une source très fiable aussi.

Commentaire supprimé.

@Nufot: 1. C'est vrai que la perversité de la violence psychologique a changé, mais d'un autre côté la reconnaissance et la fréquentation des psychothérapeutes a énormément augmenté, donc pour moi ça compense.
2. Je pense que c'était vrai jusqu'à il y a un ou deux ans. Entre 2010 et 2015 on a sans arrêt entendu parler des inégalités partout, que 1% de la population mondiale détenait 99% des richesses, etc. Mais il y a un décalage fort entre ce qu'il se passe dans le monde et le moment où on s'en rend compte, et un changement a commencé à s'opérer vers 2015-16, on le voit avec des pays comme la Chine ou le pays d'amérique du Sud avec le président ultra populaire là, bref.
Et je suis moi-même très méfiant vis-à-vis des statistiques, mais pour une fois justement leur présentation est rigoureuse, claire et précise. Les échelles sont toujours les mêmes, pas de confusion possible entre les proportions et les valeurs absolues, et les valeurs d'origine des axes sont toujours clairement indiquées. Je ne vois aucune raison de se méfier de ces graphiques. Tu peux me dire qu'il peut y avoir d'autres données qui ne nous sont pas présentées qui peuvent remettre l'article en question, mais celles qui y sont présentées sont intouchables.
3. Ça change que la théorie pour expliquer le phénomène est fausse, mais ça ne démontre en aucun cas la non-existence du phénomène, or ce qui est intéressant c'est que le phénomène existe, pas pourquoi c'est le cas.

@Lamatraque: C'est 65% des gens qui ont été interrogés qui ont reportés des actes violents.